Abonnés

Etats-Unis : Jusqu’ici, ça va

  • Will Hooley
    Will Hooley Sportsfile / Icon Sport - Sportsfile / Icon Sport
Publié le Mis à jour
Partager :

Les Eagles sortent d’une année 2019 très favorable. Ils espèrent limiter les dégâts avec brio jeudi contre le XV de la Rose.

Les Américains seront les derniers (avec leurs voisins canadiens) à entrer en piste dans ce Mondial. Cela se passera jeudi à Kobe, face à l’Angleterre. Inutile de dire qu’ils se sentiront dans la peau de parfaits outsiders.

Le moins qu’on puisse dire, c’est que les Eagles ne sont pas dérangés par la pression médiatique. «J’ai foi en cette équipe, et je n’ai pas toujours été en mesure d’affirmer cela avec toutes les équipes par lesquelles je suis passé. Je suis concentré sur cette année, mais je crois que la Coupe du monde 2019 va profiter à ce groupe pour 2023», explique le sélectionneur sud-africain Gary Gold. On a trouvé mieux comme aveu d’optimisme. A priori, les États-Unis ont ciblé le match contre les Tonga, la seule équipe qui semble à leur portée dans cette poule.

On n’oubliera pas qu’ils ont gagné trois de leurs quatre derniers matchs, deux victoires contre le Canada, une contre les Samoa (date historique), une défaite contre le Japon. Ils ont aussi gagné six de leurs huit matchs cette année. Et la saison passée, ils avaient accroché l’Écosse à leur tableau pour la première fois de leur histoire.

Lamositele joue aux Saracens

On attendra le match de Kobe pour avoir une idée de leurs forces et de leurs faiblesses. On a remarqué qu’ils comptent dans leur rang un pilier droit nommé Titi Lamositele, un gars assez fort pour avoir figuré sur les feuilles de match des rencontres décisives des Saracens en fin de saison dernière. C’est quand même une référence.

On n’en dira pas encore autant de David Ainu’u, le très jeune pilier gauche toulousain qui n’a fait que des apparitions, notamment contre le Leinster pour une victoire en Coupe d’Europe. Mais elles ont été jugées très prometteuses par Ugo Mola. À lui de confirmer cet automne.

Peterson (ex-UBB), Fry (Vannes) ou Blaine Scully (ex-Leicester et Cardiff) joueront sans doute les "papas". J. P.

Vous êtes hors-jeu !

Cet article est réservé aux abonnés.

Profitez de notre offre pour lire la suite.

Abonnement SANS ENGAGEMENT à partir de

0,99€ le premier mois

Je m'abonne
Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?