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Leitch : "Faire de même contre l’Ecosse"

Par Midi Olympique
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Quel est votre état d’esprit par rapportau succès d’il y a quatre ans ?

Il y a quatre ans, c’était vraiment spécial. Nous étions des outsiders mais cette fois, nous pensons être à notre place. Donc nous devions aller encore plus loin en battant l’une des meilleures équipes du monde. C’est une très grosse performance et c’est une reconnaissance pour le rugby japonais.

Vous avez le sentiment que cela peut avoir un impact ?

C’est très important. En 2015, nous avions montré au monde de quoi nous étions capables car avant cela, personne ne connaissait le rugby japonais. Mais maintenant je suis fier, et nous pouvons laisser un important héritage et j’espère qu’il y aura un impact après la Coupe du Monde.

 

Pour revenir sur ce succès face à l’Irlande, votre début de match a été compliqué…

Sincèrement, nous n’avons pas commencé le match comme nous l’espérions. Nous avons dû essayer de nous calmer tout en essayant de marquer l’adversaire. Oui, nous avons été un peu empruntés.

Lorsque Kenki Fukuoka marque cet essai décisif, quelle est alors votre vision ?

Qu’il allait falloir allier plusieurs choses. Nous pensions alors à occuper et à jouer tous les ballons, même sous pression. Mais nous avons aussi cherché à les ralentir. Et nous avons tenu jusqu’à la fin, nous n’avons pas cédé.

 

Pieter Labuschagne était capitaine. Cela signifie-t-il que l’on ne veut pas vous faire porter toutes les responsabilités ?

Oui. J’ai été prévenu dès le début de la semaine que je ne commencerais pas. Le capitaine se doit d’être le meilleur joueur, celui qui doit donner le plus d’impact. J’ai partagé le leadership et mon rôle était de préparer l’équipe. Ça a payé.

Vous avez fait un grand pas vers la qualification ?

Oui, c’est un pas certain que d’avoir battu l’Irlande. Nous allons donc devoir en faire de même contre l’Ecosse pour pouvoir rester dans cette très bonne position.

D’autant que lors de la dernièreCoupe du Monde, malgré trois succès, vous ne vous étiez pas qualifiés…

Nous avons encore du travail à faire. C’est pourquoi nous en avons tout de suite parlé dans les vestiaires. Nous nous sommes projetés sur les Samoa, et sur la nécessité de marquer des essais et d’aller chercher le point de bonus. Le match qui va arriver sera très important dans la course à la qualification pour les quarts de finale.

Propos recueillis par Julien PLAZANET.

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