Adams, Du Toit, Underhill, Vakatawa... Voici notre XV du Mondial
Quatre Sud-Africains, trois Anglais ou encore un Fidjien et un Japonais... Découvrez notre XV de cette Coupe du monde 2019.
15. Beauden Barrett (Nouvelle-Zélande)
Repositionné à l'arrière, Barrett est resté ce magicien capable de renverser un match à lui seul. Aux côtés de ses frères Jordie et Scott, il a réalisé un Mondial complet et a amené beaucoup d'assurance dans le fond du terrain sans oublier ses deux essais inscrits.
14. Semi Radradra (Fidji)
Malgré une prestation manquée contre l'Uruguay, le joueur de l'UBB a régalé dans les matchs plus importants. Face aux Gallois et aux Australiens, le Fidjien s'est signalé grâce à sa puissance, ses crochets et sa capacité à faire jouer derrière lui. Deux essais à son actif.
13. Virimi Vakatawa (France)
Sans doute le meilleur français du Mondial. Auteur de deux essais, le joueur qui n'était pas sélectionné à la base s'est sublimé. Utilisé en point de fixation, Vakatawa a fait des ravages dans les défenses adverses.
12. Damian de Allende (Afrique du Sud)
Moins en vue en début de compétition, le centre est monté en puissance petit à petit. Il a d'ailleurs réalisé des phases finales exceptionnelles. Sa puissance dans les moments importants a beaucoup compté au milieu du terrain.
11. Josh Adams (Pays de Galles)
L'ailier gallois termine meilleur marqueur d'essais de la compétition avec sept unités. Il est aussi le meilleur franchisseur. Bref, la présence du pays de Galles en demi-finale est en partie dû aux exploits de son ailier gauche.
10. Handré Pollard (Afrique du Sud)
Sans se montrer exceptionnel, le futur montpelliérain a réalisé des prestations très propres. Notamment en demi-finale et en finale. Son jeu au pied et sa précision face aux perches ont mis son équipe à l'abri. Un joueur sécurisant.
9. Aaron Smith (Nouvelle-Zélande)
Jugé décevant lors de certaines prestations avant le Mondial, Smith a fait taire ses détracteurs. Notamment grâce à son doublé en quart de finale contre l'Irlande. Assurément l'électron libre de cette équipe néo-zélandaise.
8. Kazuki Himeno (Japon)
Un essai face aux Samoa, des prestations dantesques contre l'Irlande et l'Écosse... Himeno a tout simplement relégué Mafi sur le banc. Sa puissance et son abnégation en font l'une des révélations de ce Mondial japonais.
7. Sam Underhill (Angleterre)
Quel joueur. Le troisième-ligne de Bath a mis tout le monde d'accord sur cette compétition. Il est, à 21 ans, un des meilleurs flankers de la planète. Agressif en défense, convaincant balle en main... Underhill s'est sublimé, tout simplement.
6. Pieter-Steph du Toit (Afrique du Sud)
Le meilleur joueur de l'année. Tout simplement. Peut-être aussi du Mondial. Son activité défensive, son rendement dans les tâches compliquées et sa leadership en font un joueur brillant. Désormais sur le toit du monde.
5. Alun Wyn Jones (Pays de Galles)
Quelle activité malgré ses 34 ans ! Le capitaine gallois, exemplaire tout au long de la compétition, termine meilleur plaqueur du Mondial. Tout simplement. Il a amené tout un peuple avec lui et a manqué de jouer le finale d'un rien.
4. Maro Itoje (Angleterre)
Le joueur des Saracens est le meilleur joueur à son poste actuellement. Impressionnant dans les airs, il l'a été tout autant sur chaque secteur de jeu. En demi-finale et en finale, il a été au-dessus de ses coéquipiers.
3. Kyle Sinckler (Angleterre)
Malheureusement pour lui, ce K.O. en finale ne lui a pas permis de mettre un point final sur sa magnifique Coupe du monde. En mêlée le pilier des Harlequins n'a pas fait dans la dentelle, renversant tout sur son passage. On retiendra son essai contre l'Australie.
2. Tolu Latu (Australie)
Au talon, l'Australien a été l'un des Wallabies les plus présents. Grâce à son doublé contre les Fidji, l'Australie a remporté un match piège. En mêlée aussi, sa densité physique a beaucoup compté tout au long du Mondial.
1. Tendaï Mtawarira (Afrique du Sud)
Encore une Coupe du monde pleine de la part du pilier sud-africain. « The Beast » a tout emporté sur son passage, et notamment Dan Cole en finale sur chaque mêlée. Suppléer par Kitschoff, les deux piliers ont fait des merveilles.
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