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Tokyo passera par Dublin

  • Terry Bouhraoua.
    Terry Bouhraoua. Midi Olympique - Patrick Derewiany
Publié le Mis à jour
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Les Bleus et les Bleues du VII devront probablement aller chercher leur qualification Olympique en Irlande, les 20 et 21 juin prochains. World Rugby devrait finalement confier l’organisation du tournoi de repêchage à la capitale irlandaise.

Pour participer à l’épreuve de rugby des JO de Tokyo, du 27 juillet au 1er août prochain, les sélections masculine et féminine à VII françaises doivent passer par un tournoi de repêchage organisé les 20 et 21 juin, sur le week-end des demi-finales de championnat. Alors que Biarritz, Monaco et Moscou avaient déposé les premières candidatures pour organiser l’événement, la compétition devrait finalement se tenir à Dublin, dernière ville à s’être déclarée (lire notre édition du 27 janvier).

World Rugby est censé officialiser l’information lors de l’une de ses prochaines réunions. Les Bleus et les Bleues ne devraient donc pas évoluer à domicile comme ils l’avaient espéré dans un premier temps. Les troupes de Jérôme Daret risquent même d’affronter un de leurs principaux concurrents sur ses terres : l’unique ticket gagnant attribué au vainqueur de ce tournoi de la dernière chance devrait probablement se jouer entre la France, actuellement troisième nation mondiale, les Samoa et l’Irlande, donc. S’il le souhaite, l’encadrement pourra convoquer pour l’occasion sept quinzistes "ne devant pas disputer avec leur club la phase finale ou le match d’accession au Top 14", comme l’a décidé le comité directeur de la FFR, samedi dernier.

Avec quels joueurs de Top 14 ?

Jérôme Daret avait récemment évoqué le sujet avec nous : "Il y a plusieurs joueurs avec qui nous travaillons et que nous suivons en vue de cette échéance : à commencer par les jeunes Ethan Dumorthier (Lyon, N.D.L.R.) et Antoine Zeghdar (Oyonnax) qui ont été parmi nous cette année. Mais on n’oublie pas non plus Gabin (Villière), Julien (Blanc) ou Gabriel (Ngandebe), qui avaient participé à l’aventure la saison passée. On compte sur eux. Il y aura des négociations avec les clubs." Pour certains d’entre eux, dont les équipes sont attendues dans le top 6, il faudra effectivement discuter.

Pour les féminines, l’équation se trouve être plus simple. Et l’équipe de David Courteix part avec davantage de chances : deux tickets olympiques sont encore à pourvoir, la France et la Russie étant sur le papier les deux nations les mieux armées parmi les douze formations engagées.

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