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Dulin, Imhoff, Zebo... Triangle d’or à Nanterre

  • Simon Zebo et Juan Imhoff, avec Brice Dulin composent le triangle d'or du Racing 92
    Simon Zebo et Juan Imhoff, avec Brice Dulin composent le triangle d'or du Racing 92 Icon Sport - Icon Sport
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Contre La Rochelle, le staff francilien devrait pouvoir compter au fond du terrain trois attaquants spectaculaires, Simon Zebo, Brice Dulin et Juan Imhoff...

Dans les Hauts-de-Seine, Simon Zebo ne ressent plus la moindre douleur à la cheville, s’est entraîné normalement et fera donc partie du groupe du Racing pour la première fois depuis deux mois. Si l’international irlandais avait marqué le pas en début de saison, il semble s’être désormais refait un corps de champion et demeurera donc l’une des armes les plus dangereuses du staff francilien, samedi après-midi face à La Rochelle. À Nanterre, l’ancien Munsterman devrait d’ailleurs former à son entrée en jeu (Dorian Laborde devrait faire les cinquante premières minutes) avec Brice Dulin et Juan Imhoff un triangle d’attaque assez renversant : sur le gazon 2.0 de la Défense, les appuis et le coup de reins de Simon Zebo restent redoutables, quand la forme actuelle de l’Argentin Juan Imhoff (cinq défenseurs battus et une passe décisive, le week-end dernier à Lyon) est éblouissante ou le retour au premier plan de Brice Dulin, incontestable : l’ancien Agenais, après avoir connu une traversée du désert de plusieurs mois, a aujourd’hui retrouvé le punch et le culot qu’on lui connaissait à l’époque où Saint-André avait fait de lui le titulaire indiscutable du poste d’arrière, en équipe de France. Face à un tel triangle d’attaque, les Rochelais auront tout intérêt, ce week-end, à trouver leurs touches et soigner leur jeu au pied s’ils ne veulent pas s’exposer aux relances assassines que ne manqueront pas d’allumer les Racingmen…

Trinh-Duc, c’est quand le bonheur ?

Si le retour à la compétition de Simon Zebo reste le moment fort de la semaine, les questions entourant l’actualité de François Trinh-Duc (33 ans) sont quant à elles toujours nombreuses. Débarqué dans le "92" en provenance de la Rade à l’intersaison dernière, l’ancien demi d’ouverture international (66 sélections, un Grand Chelem en 2010 et une finale de Coupe du monde l’année suivante) s’est fracturé l’avant-bras lors d’un match de présaison à Brive, avant d’observer trois mois de convalescence et de contraindre le Racing à recruter comme joker médical l’Argentin Diaz Bonilla, lequel ne laissera pas un souvenir impérissable dans l’Ouest parisien. De retour à la compétition le 28 décembre dernier, au Stadium de Brive, François Trinh-Duc a depuis connu six feuilles de match avec son nouveau club mais pas une seule titularisation. Dès lors, l’enfant de Montpellier gagnera-t-il le dernier pari qu’il s’était lancé, en signant au Racing ? Peut-il chambouler une hiérarchie au sein de laquelle Chavancy, Vakatawa, Volavola, Russell et Klemenczak lui semblent aujourd’hui tous supérieurs ? La question reste entière. Mais devant lui, FTD a une saison et demie pour ne pas terminer sa longue carrière (il a démarré en 2004 à Montpellier) dans une totale indifférence…

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