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« C’était le bon moment pour me lancer »

  • "C’était le bon moment pour me lancer"
    "C’était le bon moment pour me lancer"
Publié le Mis à jour
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Matthieu Nicolas - Futur entraîneur de La Bièvre-Saint-Geoirs (Fédérale 2) joueur à Bourgoin le dimanche, il sera dans le courant de la semaine en charge des lignes arrière des castors.

Votre arrivée aux commandes des trois-quarts du BSGRC a surpris dans le Landernau. Comment sʼest-elle effectuée ?

Tout simplement. Benjamin Ollivier, qui revient à La Bièvre en tant que manager après deux saisons à Vienne, cherchait un entraîneur des trois-quarts et m’a directement contacté. Le lien a été effectué par Mickaël Campeggia, avec lequel il est très pote, qui lui a rapporté que je recherchais éventuellement une opportunité pour entraîner. Comme Benjamin recherchait un jeune coach, il m’a appelé et tout s’est fait très vite…

Sentiez-vous avoir la fibre depuis longtemps ?

Assez, oui… Quand j’étais au centre de formation à Bourgoin, j’avais passé mon brevet d’entraîneur et lors de mes saisons à Grenoble, j’ai validé un DE au Creps de Voiron. Avant de rejoindre Castres, en 2008, j’entraînais le club de La Verpillière, à côté de Bourgoin, et je m’éclatais. Pendant mon DE, j’avais en charge les Crabos de Grenoble avec « Bibi » Ferruit (actuel entraîneur de Voiron, N.D.L.R.) et cette saison j’entraînais même mon fils qui jouait au football avec les moins de 7 ans de Rochetoirin (rires) ! Comme quoi, l’entraînement, c’est toujours quelque chose qui m’a trotté dans la tête. Avec des enfants en bas âge, jusqu’à maintenant, c’était compliqué… Mais j’ai senti que cette année, c’était le bon moment pour vraiment me lancer.

Votre particularité sera réelle car en tant que joueur du CSBJ, vous serez aussi un entraîneur qui nʼn’assistera pas aux matchs de son équipe…

Oui, c’est la seule chose qui pouvait me freiner. Comme je joue encore, je m’entraîne la journée, donc il n’y a aucun obstacle à ce que je sois présent aux entraînements de La Bièvre. En revanche, il y a de fortes chances que je sois souvent pris avec Bourgoin le dimanche en Fédérale, et je ne pouvais pas vraiment m’engager par rapport à ça… J’ai été clair dès le départ mais Benjamin m’a dit que cela ne posait pas de problème parce qu’il occupe justement le rôle de manager et que l’entraîneur des avants, Nicolas Effantin, reste en place. Il y aura donc toujours deux coachs sur le bord du terrain le dimanche, trois lorsque je pourrai être là ! Mais au départ, le deal est que je viens seulement pour assurer les entraînements des trois-quarts en semaine.

Vous êtes hors-jeu !

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