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13 Bleus dans le XV 2020 de la rédaction

Par Midi-Olympique
  • Virimi Vakatawa, Antoine Dupont, Bernard Le Roux, Demba Bamba, Grégory Alldritt, Cyril Baille, Brice Dulin ou encore Sekou Macalou, le XV de l’année fait la part belle aux joueurs tricolores.Photos Icon Sport
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Publié le Mis à jour
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Tout n’aura pas été si sombre en cette année 2020 si particulière sur le plan sportif. Au milieu du chaos de compétitions tronquées, on a assisté à l’éclosion d’une génération qui porte le renouveau du XV de France mais qui fait surtout le bonheur des clubs

15 Brice Dulin - Racing 92/ La Rochelle

La présence de Brice Dulin peut surprendre. Et pour cause. On le disait tombé aux oubliettes, loin de son niveau qui fit de lui un international en puissance. On le pensait sur le déclin, le Racing 92 ayant décidé de se séparer de lui en fin de saison dernière. Sauf que, à bien y regarder, sur la seule année 2020, l’arrière, qui évolue aujourd’hui à La Rochelle, a retrouvé son meilleur niveau. Sur les trois premiers mois de l’année d’abord, il était redevenu un titulaire en puissance au Racing, malgré la concurrence de Simon Zebo. Ensuite, impossible d’occulter ses performances sur les quatre derniers mois. À 30 ans, Brice Dulin vit une seconde jeunesse avec les Maritimes. À tel point qu’il a logiquement été rappelé en équipe de France par Fabien Galthié, afin de disputer les matchs face à l’Italie et l’Angleterre. Et quelle réussite ! Excellent lors de ces deux rencontres, le natif d’Agen a éclaboussé de sa classe les spectateurs mais aussi ses adversaires.

14 Cheslin Kolbe - Toulouse

Certes, il arrive parfois à l’ailier sud-africain de rester humain, comme lorsqu’il avait fait une entrée indigne de son rang contre Agen. Mais, quand arrivent les grands matchs, le champion du monde prouve qu’il n’est pas un des meilleurs joueurs du monde par hasard. Ses appuis déroutants, ses crochets dévastateurs et sa vitesse incroyable en font un vrai cauchemar pour ses adversaires. Surtout, au-delà sa capacité à créer sans cesse des brèches, Kolbe a complété sa palette ces derniers mois en devenant plus finisseur qu’il ne l’était. Mais il reste d’abord un garçon ultra-complet, solide en défense, doté d’une intelligence de jeu largement supérieure à la moyenne et polyvalent à souhait. Champion de France à l’arrière en 2019, il a démontré en février dernier au Racing 92 qu’il était capable de rendre une excellente copie à l’ouverture, alors que son équipe était démunie à ce poste ce jour-là. Il s’était même chargé des tirs. Kolbe, l’homme "atout" faire.

13 Virimi Vakatawa - Racing 92

On ne compte plus les personnalités du rugby pro qui, de Henry Chavancy à Chris Masoe, en passant par Jamie Roberts, jugent aujourd’hui que Virimi Vakatawa est tout simplement le meilleur trois-quarts centre de la planète. Dernièrement, l’ancien demi de mêlée du XV de France, aujourd’hui consultant pour France Télévisions, Dimitri Yachvili, disait de lui, à l’issue de la rencontre de Champions Cup face au Connacht : "Comme d’habitude, son match, ça vaut 17 ou 18 sur 20. Avec lui, vous n’êtes jamais déçu." Dans la droite lignée de ses performances au Mondial japonais l’an passé, l’ancien "septiste" a réalisé une année 2020 exceptionnelle. Tant avec son club qu’en équipe nationale. Avec le Racing 92, il a atteint la finale de la Champions Cup, disputée exceptionnellement au début de cet automne. Surtout, il a pris une envergure incroyable dans le système de jeu francilien. Et que dire de ses performances encore cette année avec le XV de France ? Il est le facteur X, celui qui par qui vient le danger. Au point d’être devenu quasi-indispensable.

12 George Moala - Clermont

Le centre néo-zélandais aura mis un peu de temps à reprendre cette saison, victime d’une commotion cérébrale lors de la 2e journée le 12 septembre dernier face à Bayonne, il a dû patienter un mois et demi et se refaire une santé. Revenu depuis, Moala n’a rien perdu de son potentiel de franchissement et, des propos même de son coach Franck Azéma, de son "aura" sur le terrain. Ce que l’on attendait de lui en Auvergne… Sa puissance, son expérience et cette capacité naturelle qu’ont ces déménageurs du Sud à faire jouer autour d’eux. Moala est pour Clermont un régulateur derrière, un roc autour duquel le jeu peut prendre plusieurs formes ou sur lequel on peut compter au plus fort d’une tempête. Ce fut particulièrement vrai en début d’année 2020, notamment lors du duel au Racing 92 où les deux paires de centres Moala - Toeava à Clermont face à Klemenczak - Vakatawa au Racing 92 se livrèrent un choc de titans où comme en Champions Cup face à Bath ou l’Ulster, Moala à chaque fois y fut irrésistible, insaisissable, tantôt casseur de plaquages et marqueur, tantôt passeur hors pair. L’ancien all black est revenu aux affaires en cette fin d’année et les Clermontois ne peuvent que s’en réjouir après leur faux pas face au Munster en Coupe d’Europe.

11 Arthur Retière - La Rochelle

Numéro 9, arrière, ailier, ou spécialiste du 7, Arthur Retière a eu pas mal de casquettes dans sa jeune carrière. Mais c’est à l’aile, (le plus souvent à gauche) qu’il semble avoir trouvé la pleine mesure de son talent. À seulement 23 ans ce gabarit de poche à l’explosivité et aux appuis déroutants fait le bonheur de La Rochelle cette saison avec déjà 6 essais au compteur. Loin d’avoir été un handicap, ces passages à la mêlée ou à l’arrière ont fait de lui un joueur équipé d’armes redoutables. Son jeu au pied, sa vision du jeu, ses accélérations, ses crochets courts au milieu du trafic et sa capacité de franchissement font de lui un poison permanent. Arthur Retière a terminé la saison dernière avec 9 essais inscrits dont un triplé face à Montpellier début janvier pour une victoire rochelaise pénible 35 à 30. Cette année, tout semble lui sourire, il a connu sa première, courte (7 ‘ de jeu) sélection face à l’Irlande pour une victoire le 35 à 27. Une première qui devrait en appeler d’autres à un poste où les Bleus n’ont pas encore trouvé "l’indiscutable."

10 Romain Ntamack - Toulouse

Le Toulousain n’était pas toujours utilisé en numéro 10 en club en début d’année 2020, d’autant plus qu’il se produisait essentiellement avec le XV de France mais il officiait déjà régulièrement à l’ouverture, en Champions Cup ou en Top 14. Et l’intéressé a été fixé à ce poste l’été dernier, formant avec Antoine Dupont un duo devenu aussi inséparable que redoutable. Auteur de performances majuscules avec les Rouge et Noir à la reprise, Romain Ntamack est ensuite resté sur sa lancée pour livrer deux prestations XXL avec les Bleus contre le pays de Galles et l’Irlande. Même s’il lui arrive encore de glisser en position de premier centre quand le besoin s’en fait sentir dans l’effectif stadiste, Ntamack s’est bien imposé comme le maître à jouer de son équipe. Régulier, à l’aise dans la gestion et toujours capable d’accélérer, il est aujourd’hui incontournable.

9 Antoine Dupont - Toulouse

À l’heure actuelle, sur la scène française, Antoine Dupont est un peu seul au monde à son poste. Pas un hasard s’il est désormais considéré comme un des meilleurs, si ce n’est le meilleur, numéro 9 de la planète. Titulaire indiscutable en équipe de France, il est évidemment une des attractions du Top 14, et donc un rouage essentiel du Stade toulousain. Alors qu’il possède toujours cette faculté à bonifier n’importe quel ballon grâce à ses qualités physiques qui lui permettent de faire des différences individuelles exceptionnelles, l’intéressé a aussi clairement franchi un cap dans l’aspect gestionnaire du poste. Capable de réduire la voilure quand le contexte l’impose, avec notamment un jeu au pied de plus en plus efficace, il n’en a pour autant pas perdu son naturel. Lui, qui possède ce don de sentir les bons coups, est ainsi fréquemment au soutien pour finir les actions. Un phénomène.

7 Sekou Macalou - Stade français

La présence de Sekou Macalou dans ce XV du Top 14 de l’année 2020 peut surprendre tant le troisième ligne du Stade français manque encore de constance au plus haut niveau. Mais force est de constater que le Parisien a marqué les esprits. Quand il "performe", il le fait de façon XXL. Un exemple ? 111 m parcourus ballon en main, 7 défenseurs battus, 3 franchissements, 2 essais et 11 plaquages réussis : ses statistiques face au Stade Rochelais en clôture de la 9e journée de Top 14 en novembre dernier sont tout simplement monstrueuses. Les superlatifs viennent même à manquer pour qualifier ce genre de prestation. Déjà en janvier dernier, au cœur d’une situation complexe pour son club, il avait étalé sa classe lors du "clasico" face au Stade toulousain. Deux essais et des actions de classe. Seulement, le joueur formé à Sarcelles peine à enchaîner sur la durée et à confirmer au niveau international. Voilà bien un moteur pour faire de 2021, l’année Macalou.

8 Grégory Alldritt - La Rochelle

Le numéro 8 rochelais, cela ne fait plus de doute pour personne, est un sacré client lorsqu’il s’agit de mener le combat dans des matchs âpres, tendus et stratégiques comme aime à les élaborer son staff (O’Gara, Gibbes, Patat…). Il n’en est pas moins un excellent joueur de ballon lorsqu’il s’agit de permettre la continuité d’un mouvement. Gregory Alldritt court beaucoup et court efficace lorsqu’il s’agit lui-même de porter le ballon ou lorsqu’il forme avec Antoine Dupont chez les Bleus ou Tawera Kerr-Barlow, la plupart du temps en club, un duo 8 - 9 intenable. Ce fut vrai encore en début d’année avec son club et pendant la première moitié du Tournoi. Seul faux pas, la défaite écossaise en mars où il ne trouva pas, pas plus que l’ensemble des Bleus d’ailleurs, la clé tactique de ce match. Mais il prend, à chacune de ses sorties, un peu plus de bouteille qui fait de lui probablement le numéro 8 le plus complet au monde aujourd’hui. Il fut une fois encore lors de l’épisode international de cet automne ce troisième ligne centre focalisant l’attention des défenseurs, s’adaptant à l’adversaire et au contexte lors des deux matchs en retard du Tournoi face au pays de Galles et l’Irlande et lors de la revanche face à l’Ecosse en Coupe d’automne des nations. Il a disputé six rencontres avec La Rochelle cette saison pour deux essais inscrits.

6 François Cros - Toulouse

C’est sûrement l’un des joueurs les plus précieux qu’un entraîneur puisse avoir dans son effectif. François Cros, c’est monsieur propre. Grâce notamment à sa formation de numéro 8, ce garçon sait absolument tout faire. Dans le système toulousain, il est davantage utilisé dans un profil de coureur et de flanker aérien. Capable de répéter les efforts, Cros affiche une activité et une mobilité extrêmement intéressantes, qui lui permettent d’être souvent au soutien de ses partenaires. Il est également très à l’aise en touche et pour casser les mauls adverses. En équipe de France, où il est devenu essentiel, Fabien Galthié, le préfère plutôt dans un rôle de plaqueur-gratteur, afin d’apporter un équilibre parfait avec Charles Ollivon et Grégory Alldritt. Et il excelle également dans cette fonction.

5 Paul willemse - Montpellier

Absent de la Coupe du Monde, Paul Willemse a su convaincre Fabien Galthié de l’embarquer dans son projet. Il a donc participé à tous les matchs du XV de France qui étaient à sa portée avant d’être "empêché" par l’accord FFR-LNR. Il a démarré six matchs sur sept possibles, il n’a démarré sur le banc que pour le deuxième match Ecosse-France. On a le sentiment que le coach du XV de France est en train d’en faire un de ses hommes de base, une poutre, taillée avec ses 126 kg pour les tâches ingrates, le déblayage ou la poussée en mêlée. Celui qui fut champion du monde des moins de 20 ans avec l’Afrique du Sud, semble parti pour un long bail avec les Bleus. À Montpellier aussi, il est devenu un homme de base, désormais le plus ancien des deuxième ligne (il est arrivé en 2015) à égalité avec Jacques Du Plessis (plus jeune que lui d’un an). Il n’est pas un artiste, c’est évident, mais sa masse physique et la façon dont il l’utilise semble sans équivalent.

4 Bernard Le Roux - Racing 92

Peu de joueurs disposent d’une telle aura sur le jeu de leur équipe qu’elle en fait un élément impératif et, par logique inverse, un élément difficilement remplaçable quand il vient à manquer. C’est le cas de Bernard Le Roux, tant avec le Racing 92 qu’avec le XV de France. Et c’est encore plus vrai sur cette année 2020. Avant de définitivement basculer dans la cage, Le Roux était alors troisième ligne aile et, s’il mettait au service des Bleus et de son club des qualités athlétiques évidentes, son peu d’aisance balle en main en faisait la cible de railleries faciles. Aujourd’hui, il compte parmi les meilleurs deuxième ligne européens. Avec le Racing 92, il a encore atteint la finale de la Champions Cup. Avec les Bleus, l’enfant de Moorreesburg, au nord du Cap, est devenu un indispensable du dispositif de Fabien Galthié. Lors du dernier Tournoi des 6 Nations, il a terminé meilleur plaqueur de la compétition avec 87 plaquages réalisés (dont 14 offensifs) en cinq rencontres, soit une moyenne de 17,4 plaquages par match. Le chiffre est immense, la constance remarquable.

3 Demba Bamba - Lyon

Il fut la trouvaille du Tournoi 2019. Mais Demba Bamba n’a joué qu’un match du Mondial 2019 handicapé par une blessure persistante. Fabien Galthié l’a cependant repris dans son groupe sans hésitation. Il s’est retrouvé dans une position de doublure au poste de pilier droit derrière Mohamed Haouas, six fois de suite. Il a en revanche débuté pour la belle victoire automnale de Murrayfield avant de laisser sa place en vertu de la règle des trois feuilles de match. Il doit sa place dans notre sélection au bon parcours de son club, le LOU. Les Lyonnais jouent une place dans le dernier carré et quand il n’est pas pris par la sélection, on constate que Pierre Mignoni le titularise systématiquement. Sur les sept matchs joués avec le LOU, il en a vécu sept comme titulaire, ça doit forcément vouloir dire quelque chose..

2 Julien Marchand - Toulouse

Dans ce classement, Julien Marchand devance de peu son alter ego du Racing 92 Camille Chat. Et c’est un peu l’histoire des deux hommes, concurrents depuis les équipes de France jeunes. Si le Toulousain possède une longueur d’avance, comme avec les Bleus, c’est certainement parce qu’il apporte de nombreuses garanties, notamment sur les bases du poste. Très actif dans le jeu et ballon en mains, excellent défenseur, Marchand est également une valeur sûre en conquête. Bref, une assurance au très haut niveau, comme il le prouve à chacune de ses sorties avec son club, où il doit pourtant composer avec les présences de Peato Mauvaka et de son petit frère Guillaume Marchand. Aussi, sa maturité - qui l’a propulsé capitaine du Stade toulousain en 2018 - en fait un leader naturel, lequel sait toujours montrer l’exemple sur le terrain.

1 Cyril Baille - Toulouse

Quelques mois avant la Coupe du monde 2019, qu’il a disputé alors qu’il n’était même pas réserviste sur la première liste de Jacques Brunel, Cyril Baille était numéro 4 ou 5 dans la hiérarchie des piliers gauches français. Mais il ne lui a pas fallu beaucoup de temps pour revenir au sommet de celle-ci, sans que cela ne souffre de la moindre contestation. Impérial en mêlée fermée, secteur dans lequel il est devenu redoutable, le Toulousain garde cette magnifique gestuelle pour un joueur de son poste. C’est ce qui fait de lui un pilier moderne, capable d’apporter de la continuité dans le jeu en réalisant la passe supplémentaire quand le jeu le réclame. Voilà qui colle parfaitement à l’ADN toulousain. Il sait également trouver de l’avancée dans les défenses adverses grâce aux énormes progrès qu’il a réalisés sur le plan physique après sa grave blessure à un genou.

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