Gare au BO et à Bosch pour l’USC
Après une belle prestation à l’Usap, l’USC accueille un ambitieux BO qui est en quête d’un premier succès à Domec. Les Audois redoutent aussi leur ancien ouvreur.
"Avec des si, on mettrait Paris en bouteille." Vendredi dernier à Aimé-Giral, si à l’ultime seconde de jeu, la pénalité de Romuald Séguy n’avait pas heurté le poteau, l’USC aurait ramené un point de bonus défensif, ce qui aurait été une belle récompense eut égard le bel investissement des hommes de Christian Labit. La page perpignanaise est désormais tournée, place dimanche, à la réception de Biarritz, un hôte redoutable, un sérieux candidat à la qualification. Si le BO affiche une belle statistique à l’extérieur (+23 au classement britannique), il n’a jamais connu le succès à Albert-Domec. Depuis 2015, date de la présence de Biarritz à ce stade du Pro D2, la victoire s’offre à l’USC.
En six face-à-face, les Carcassonnais ont toujours eu, la maîtrise du débat. Ils n’ont été accrochés qu’à deux reprises, très exactement lors des saisons 2016 et 2019 ou les Basques ont empoché le bonus défensif (32-27 et 21-20).
Gilles Bosch, le couteau suisse
Dans les rangs carcassonnais, on reconnaît légitimement, la valeur de l’adversaire. "C’est une équipe du calibre de Vannes voire Perpignan, confie l’ailier audois, Benoit Jasmin. Mais après, nos deux succès consécutifs face à Rouen et Montauban et la prestation de vendredi dernier à Perpignan, on aborde cette rencontre avec une certaine confiance."
Mais plus que le BO, les Carcassonnais redoutent leur ancien ouvreur, Gilles Bosch désormais porteur du maillot biarrot. "Quand il était notre équipier, Gilles nous a très souvent enlevé une épine du pied. On lui doit de nombreuses victoires. Il sait tout faire, il a une excellente vision du jeu. En tant que joueur c’est un couteau suisse", renchérit Benoit Jasmin ami proche de l’ouvreur basque. Après s’être rassurée lors du double succès à domicile face à Rouen et Montauban, l’équipe de Christian Labit espère épingler un cador à domicile. À ce jour, deux têtes d’affiche : Perpignan et Oyonnax étaient repartis d’Albert-Domec avec les points de la victoire. L’actuel leader, Vannes avait empoché les points du match nul. Une victoire face à Biarritz offrirait à l’USC un confort comptable et psychologique. Un adversaire qui compte dans ses rangs, un certain Gilles Bosch, celui qui a marqué plus de 1000 points lorsqu’il portait la tunique jaune et noire.
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