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L’intime conviction de Piqueronies

Par Romaiin Asselin
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Arrivé il y a un mois à la tête du staff palois, l’ex-entraîneur couronné de l’équipe de France U20 sent poindre les signes annonciateurs du maintien. Barrage ou pas.

Autant Antoine Hastoy, avant lui, est apparu marqué en conférence de presse d’après-match, autant Sébastien Piqueronies n’a pas sourcillé une seule fois au moment d’analyser le plus lourd revers de la Section, cette saison. 

Comme si rien ne pouvait entamer, non seulement sa bonhomie, mais aussi sa confiance en sa feuille de route et ce groupe rejoint le 1er mai dernier. « Ce plan s’affine, se confirme et devient encore un peu plus à suspense avec ce point bayonnais. Tant mieux pour le rugby et les spectateurs, en sourit presque, d’ailleurs, le manager béarnais. En tout cas, ça ne change rien pour nous dans l’optique de préparer le dernier match contre Montpellier pour le gagner. À voir s’il faudra en gagner un autre en suivant, ou pas. Notre planning, dès début mai, incluait le 12 juin (match de barrage face au finaliste de Pro D2, N.D.L.R). Maintenant, on part sur une dynamique de quinze jours, maximum, sur laquelle il va falloir se récompenser absolument et être efficace sur absolument tout ce que l’on entreprend. »

« L’environnement idéal »

Bien que « gêné par les imprécisions techniques » entrevues face au vice-champion d’Europe, Sébastien Piqueronies préfère voir le verre à moitié plein : « Ça nous donne énormément d’axes de travail. Surtout, ça nous conforte sur ce qu’il nous faut continuer de travailler. Et, surtout, sur la confiance absolue à avoir dans la qualité du travail à venir. J’ai l’intime conviction que l’on va commencer à capitaliser tout le travail entrepris. Ce groupe doit être au pied du mur, uniquement face à ses responsabilités. C’est peut-être l’environnement idéal pour qu’il tire la quintessence de son potentiel. » Son talonneur Lucas Rey, abonde : « Affronter l’une des meilleures équipes d’Europe ne peut que nous faire grandir. Je n’aurai pas eu le même discours en milieu de saison mais, là, il faut se servir d’un match comme ça. Je ne sais pas comment on va vivre cette semaine. Ce qui est sûr, c’est qu’on est prêt à la vivre. » Un impératif, lui aussi absolu, dans l’opération sauvetage.

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