Des « cadres » qui maîtrisent le plan et des soldats taillés pour le harcèlement
Quels sont les prérequis pour mettre en place un jeu de dépossession efficace ? D’abord, des leaders stratégiques qui connaissent le système.
Et malgré l’absence de ses habituels cadres, le XV de France en a sous le coude, puisque des joueurs comme Baptiste Couilloud ou Louis Carbonel ont été de tous les rassemblements ou presque depuis la prise de fonction de Fabien Galthié et savent parfaitement ce que le sélectionneur attend d’eux, sans parler d’Anthony Bouthier qui couvrira le banc… Ensuite ? Des ailiers capables de harceler l’adversaire en l’air au ou sol, à l’image de Damian Penaud ou Gabin Villière, associés au centre à des soldats irréprochables en défense comme cette paire Vincent-Danty particulièrement solide. Enfin ? Il s’agit de présenter un pack le plus mobile possible, la puissance ballon en main devenant secondaire. Et force est de constater qu’entre les Cretin, Macalou, Jelonch et autres Geraci, les Bleus sont pourvus en avants capables de couvrir énormément de terrain pour assurer leurs tâches défensives. De quoi se convaincre qu’à condition de respecter la stratégie à la lettre, un exploit demeure possible lors du premier test ? C’est à peu près l’idée, oui…
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