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Vannes : à l’impossible….

Par Didier Le Pallec
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Le RCV n’a pas encore décollé dans ce championnat. Pouvait-il rêver le faire contre Bayonne ? Non. Mais au bout de la voie empruntée, il y a la lumière.

Dans l’absolu, cette troisième défaite consécutive fait tache. Mais en fait, cette tache est nettement rétrécie car c’était Bayonne en face. Même si la déception était perceptible (Jo Edwards), il y avait matière à croire en des lendemains plus lumineux. Le troisième ligne vannetais restait convaincu que la première victoire allait être pour bientôt, les efforts finiraient par payer. Ce qui motivait un tel propos s’appuyait sur le constat fait d’un collectif qui a engagé une remontada au score en seconde mi-temps. Le pari était osé, mais pas loin de réussir. 6-23 à la pause et 18-26 au coup de sifflet final. Vannes avec + 12 contre + 3 pour Bayonne avait gagné… mais seulement la seconde période !

La marche trop haute

Mais de l’aveu de l’entraîneur breton, le mal était déjà fait, le score quasiment acquis à la mi-temps face à une formation de Bayonne qui était déjà dans une stratégie de défense. En clair, à l’impossible le RCV n’était en fait pas tenu en ce vendredi soir car la marche était trop haute et toute la générosité des joueurs vannetais s’est heurtée à un véritable mur. Une stratégie payante pour les Basques campés sur leurs positions à attendre les Bretons, alors que dans le même temps, le RCV payait au prix fort toutes ses erreurs : réceptions manquées, sortie de camp mal négociée et une interception assassine à quelques secondes de la pause. Nous partageons le sentiment du patron vannetais que son équipe n’avait pas fait un mauvais match ce vendredi soir, comme ceux précédents à Nevers et Grenoble. Mais le RCV a joué contre plus fort que lui, ce qui n’était pas forcément la vérité des deux précédentes rencontres. Il manque alors à ce collectif ce petit quelque chose qui fait la différence. Pour bientôt dit l’ancien capitaine des hommes en bleu ? Acceptons-en l’augure.

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