Abonnés

La Rochelle, un déclic à confirmer

Par Romain ASSELIN
  • La Rochelle, un déclic à confirmer
    La Rochelle, un déclic à confirmer Icon Sport - Icon Sport
Publié le Mis à jour
Partager :

Fort de sa convaincante victoire aux dépens du CO, le Stade rochelais se rend en Corrèze avec la ferme intention d’effacer le récent non-match à Montpellier.

Plus jamais ça. Le musclé discours du manager O’Gara, après « l’inacceptable » prestation rochelaise au GGL Stadium, résonnait encore, en début de semaine, dans les couloirs de l’Apivia Parc, théâtre d’une demi-journée dédiée aux sollicitations media. Le staff attend ses joueurs au tournant à Brive, ce samedi, une semaine après le net regain de combativité affiché contre Castres à Deflandre (29-10).

« Entendre Ronan hausser le ton en ciblant les joueurs a été un électrochoc pour l’équipe. Quand tu te fais réprimander comme ça, devant tout le monde, ce n’est jamais facile à accepter, concède un Jules Plisson pour qui la causerie a porté ses fruits. À Montpellier, on a baissé la tête quand ça piquait. Contre Castres, tout le monde bombait le torse. Ça montre que les mecs ne veulent pas se laisser faire et que l’équipe a du caractère. Dans l’état d’esprit, on a sorti un match déclic. Confirmer à Brive est fondamental. Tout le monde parle d’une victoire mais il va falloir faire les choses correctement et arriver avec beaucoup de respect face à cette équipe. » Qui plus est sur une pelouse où le club à la caravelle n’a gagné qu’une seule fois dans son histoire face au CAB, en dix-huit tentatives.

« Une dynamique à prendre »

Le respect n’empêche pas la détermination. « On a beaucoup de retours pour Brive, il faut y aller avec les dents qui rayent le parquet, image le deuxième-ligne Thomas Lavault. Un match comme celui contre Castres va nous resserrer, nous montrer que si l’on met les ingrédients – déjà sur l’agressivité, ce qui est la base – ça change tout. En début de saison, ce n’était pas nous. On a réglé nos bêtises à vouloir aller en touche pour mettre des essais. »

 « On avait à cœur de montrer à notre public qu’on savait toujours jouer, embraye Dany Priso. Maintenant, il y a une dynamique à prendre. Il faut remettre les pieds dans le cambouis, arrêter de regarder derrière et juste se dire que ce qui nous attend, ça va piquer. Soit on se relève et on y va pour faire quelque chose, soit la saison va être très, très longue. »

Vous êtes hors-jeu !

Cet article est réservé aux abonnés.

Profitez de notre offre pour lire la suite.

Abonnement SANS ENGAGEMENT à partir de

0,99€ le premier mois

Je m'abonne
Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?