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Paris a finalement rompu

Par Midi-Olympique
  • Les Franciliens n’ont pas su capitaliser sur leur bonne entame de match. Ils repartent frustrés par le seul point de bonus défensif et une charnière à l’infirmerie.
    Les Franciliens n’ont pas su capitaliser sur leur bonne entame de match. Ils repartent frustrés par le seul point de bonus défensif et une charnière à l’infirmerie. Icon Sport - Icon Sport
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Les Franciliens n’ont pas su capitaliser sur leur bonne entame de match. Ils repartent frustrés par le seul point de bonus défensif et une charnière à l’infirmerie.

Caramba, encore raté ! Passés pas loin d’une deuxième victoire à l’extérieur à Castres au début de l’année, les Parisiens rentrent encore bredouilles du court voyage à Lyon, mais aussi meurtris, mentalement et physiquement. Il y a un mois, les Palois étaient passés sous le rouleau compresseur lyonnais et avaient cassé leur deuxième ligne. Cette fois le scénario a été différent. Jusqu’aux dernières minutes de la partie et une pénalité ratée par Arthur Coville, en coin, puis un dernier ballon perdu dans un ruck, le Stade Français est resté dans le coup après une bonne entame (12-0. 24e), malgré de nombreux coups du sort. Mais la casse physique à la charnière, a été déterminante.

Des parisiens trop diminués

« C’était déjà incroyable d’être toujours dans le match à dix minutes de la fin avec toutes les contraintes subies », reconnaissait le manager, Gonzalo Quesada. Il voulait parler bien sûr de cet incroyable enchaînement de blessures et de KO touchant sa charnière : James Hall est sorti à la demi-heure de jeu, Joris Segonds à la 58e minute, puis son remplaçant, Léo Barré cinq minutes plus tard, laissant l’équipe désorganisée. « Nous avons réussi à nous organiser en fin de match, sans ouvreur, sans buteur, à quatorze, poursuit l’Argentin. Nous sommes restés dans le match quatre-vingt minutes mais le point de bonus défensif a un goût amer... Avec un blessé en moins, cela aurait pu passer. »

Mais la coupe était trop pleine face à un adversaire plus dense physiquement et que les Parisiens n’ont pas réussi à faire douter plus longtemps qu’une mi-temps. Après le coup de poignard d’Arthur Coville avant la pause, les visiteurs n’ont pas su maîtriser les Lyonnais au retour des vestiaires, au moment où ils auraient dû enfoncer le clou. « En première mi-temps, nous avons pu les laisser dans leur camp et trouver des espaces. En deuxième période, nous avons dix premières minutes difficiles qui permettent à Lyon de revenir dans le match, période durant laquelle nous nous débarrassions trop du ballon. »

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