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France 7 féminin : les argentées en reconquête

  • Jade ULUTULE capitane des Bleues.
    Jade ULUTULE capitane des Bleues. Icon Sport - Icon Sport
Publié le Mis à jour
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Actuellement deuxièmes du circuit mondial, les féminines de France 7 entendent terminer joliment leur circuit mondial. Avec une place sur le podium, a minima.

Les Françaises ne pouvaient rêver cadre plus propice en guise de baisser de rideau du circuit mondial : leur sixième et dernière échéance de l'édition 2021-2022 se tiendra dans la capitale officieuse du rugby français. Les protégées de David Courteix abordent ce rendez-vous symboliquement fort avec des ambitions maximales. Celle, avouée, de remporter, enfin, une première épreuve sur le circuit mondial. Pour les vice-championnes olympiques de Tokyo, il s'agit d'un cap majeur à franchir. Cette année, elles n'ont d'ailleurs pas non plus connu les honneurs d'une finale. Leurs meilleurs résultats remontent aux deux premières levées du circuit avec deux troisièmes places à Dubaï. Depuis, elles ont tourné autour du podium sans parvenir à remonter dessus. À domicile, une médaille paraît être un objectif minimal pour Camille Grassineau et ses partenaires. "On espère bien clôturer cette saison avant la Coupe d’Europe et la Coupe du monde", se projette l'international.

"Un potentiel insoupçonné"

À Toulouse, les Tricolores chercheront au passage à consolider leur deuxième place au classement général d'une saison dominée de la tête et des épaules par les Australiennes. Avec quatre et six points d'avance sur les Etats-Unis et l'Irlande, leur marge n'autorise aucun relâchement. David Courteix en est conscient. Au-delà des considérations comptables, l'entraîneur espère voir ses troupes donner la plénitude de leur potentiel : « Je pense que nous avons aujourd’hui un potentiel insoupçonné à gratter en matière de ressources collectives, d’état d’esprit, de cohésion et d’envie de tout donner à l’équipe. L’organisation, la structuration, la capacité à garder la tête froide sont indispensables mais il faut aussi pour faire de grandes choses, être capables d’aller chercher au niveau émotionnel, au niveau collectif, quelque chose de plus. Tout cela fait aussi partie du jeu dans la performance de haut niveau et c’est ce qui permet à des moments de passer le cap. »

Avec l'Irlande et l'Angleterre, respectivement troisièmes à Langford et à Séville, dans leur poule, les Bleues seront rapidement confrontées à une forte adversité. Mais le public toulousain n'en attend pas moins de les voir aller loin sur la pelouse du stade Ernest-Wallon. Le statut de vice-championne olympique induit une attente qu'il serait opportun de ne pas décevoir.

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