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Info Midol - Jokers : le casse-tête des piliers droits

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La semaine passée, le LOU a accueilli Feao Fotuaika, son joker au poste de pilier droit. Le Stade français, Clermont et Bayonne n’ont, eux, pas encore trouvé leur bonheur. Car les candidats sont rares.

Vendredi dernier, le Lou a accueilli un oiseau rare en la personne de Feao Fotuaika (28 ans, 2 sélections). Retardé par des problèmes administratifs, l’international tongien a débarqué comme joker médical de Demba Bamba, opéré en juillet d’une lésion au cartilage du genou gauche et absent six mois. En ayant convaincu l’ancien joueur des Queensland Reds de rejoindre ses rangs, le Lou a réalisé un tour de force. Il n’est pas tant question de la qualité du joueur, qui est tout de même précédé d’une flatteuse réputation, mais de la difficulté à recruter à ce poste à ce moment de la saison.

Au moins trois autres clubs de l’élite sont en recherche intensive d’un numéro 3. Le Stade français, confronté à la longue indisponibilité de Paul Alo-Emile et à l’absence de Vasil Kakovin, est tout particulièrement dans l’urgence. Le club parisien a beau se démener, il n’a pas encore trouvé le renfort attendu. Ses dirigeants ont un temps été en contacts avec le vétéran All Black Owen Franks (34 ans, 108 sélections) mais les deux parties ne sont pas parvenues à un accord. Parmi les pistes encore à l’étude, le club envisage de récupérer Hugo N’Diaye (22 ans), actuellement prêté à Rouen. Reste que l’hypothèse d’un recrutement dans l’hémisphère Sud reste la priorité.

Qui pour remplacer Slimani ?

Deux autres clubs de l’élite poursuivent le même objectif : Bayonne et Clermont. Le club basque cherche un joueur supplémentaire à ce poste depuis de nombreuses semaines alors que l’ASMCA s’est mêlée à la lutte depuis la blessure de Rabah Slimani. Le pilier a été opéré mardi dernier d’une rupture du tendon du biceps gauche et sera éloigné des terrains pendant environ quatre mois. Les dirigeants auvergnats sont confrontés au même souci que leurs homologues parisiens et bayonnais : les spécialistes de bon niveau ne se bousculent pas sur le marché.

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