L'opinion Midol : La Rochelle, cette machine infernale
Samedi, La Rochelle n’a pas récité son meilleur rugby : elle a de temps à autre manqué d’application, a pu pêcher par précipitation et a été chahutée dans le jeu au sol. L’ampleur du score final, 43 à 8, est d’autant plus marquante. Et si l’on jette un coup d'œil à la feuille de match, l’écho de la performance trouve encore plus de résonance. Samedi, seuls cinq des quinze titulaires vainqueurs à Lyon avaient été maintenus dans le XV de départ : Dulin, Danty, Alldritt, Bourdeau et Picquette. Face à l’Usap, Teddy Thomas et UJ Seuteni ont été baptisés en jaune et noir, l'espoir franco-anglais Harry Glynn a eu droit à sa grande première dans l’élite, Will Skelton, Léo Aouf, Jules Le Bail ont tout bonnement démarré leur saison…
Pour que ce soit encore plus parlant, sachez que les Hastoy, Tanga, Rhule, Leyds, Kerr-Barlow ou encore Botia n’étaient pas présents sur la pelouse de Deflandre. Tous ces éléments pour en arriver à une conclusion évidente : le Stade rochelais possède à ce jour une profondeur d’effectif peut-être inégalée dans l’élite. Son pack, surtout, reste quoi qu’il arrive une formidable machine à avancer.
ce sujet, il convient de tirer un petit coup de chapeau aux huit espoirs sang et or envoyés dans ce qui aurait pu être une boucherie : "On est tout de même un peu déçu du résultat et de cette fin de match, soupirait le jeune talonneur sang et or Victor Montgaillard. On a le sentiment que c’est cruel". Ca l’est. Et ça s’appelle la loi du plus fort.
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