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Sébastien Tillous-Borne (manager de Bourgoin) : "Nous devons persévérer"

Par Sébastien Fiatte
  • Sébastien Tillous-Borne, manager de Bourgoin.
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Est-ce le soulagement qui prime après la transformation manquée par Albi à la dernière seconde ?

Oui, parce que nous méritons la victoire. Sur l’ensemble du match, nous avons joué, nous nous sommes créés les occasions. Nous avons plutôt fait le jeu. Albi est devant nous à la mi-temps alors que nous étions le plus souvent dans leur camp. Ils sont venus quatre fois, pour quatre pénalités contre nous et douze points inscrits… Nous savions qu’ils étaient réalistes. Après le match à Suresnes, nous avions parlé de la discipline toute la semaine. L’arbitre a été sévère, je pense, en première mi-temps, notamment sur deux grattages. Mais nous avons été bien disciplinés en deuxième mi-temps.

Après Suresnes, c’est la deuxième fois que vous semblez monté en puissance en deuxième période…

Sur ce match, nous avons aussi fait de grosses entames de mi-temps. On ne se paie pas comme on devrait. Je suis content du contenu, de la performance de l’équipe. Nicolas Cachet a raté des points au pied. C’est plutôt rare. Je pense que s’il les met, nous pouvons aller chercher le bonus offensif. Nous aurions pu le perdre mais aussi aller chercher le bonus.

A propos de Nicolas Cachet. Il a parfois tenu la baraque à la marque en début de saison. Est-ce positif de gagner sans une grande performance de sa part face aux perches ?

En début de saison, nous nous sommes beaucoup sur lui, pour le but. Mais il a été blessé et avons quasiment évolué deux mois sans lui. Notre jeu a un peu changé. Nous allons un peu plus souvent en pénaltouche, nous tentons plus souvent d’aller chercher les essais. C’était un mal pour un bien pour se prouver qu’on peut gagner sans Nico. Il a été un peu moins en réussite samedi. C’est comme ça. Il faut être capable de gagner les matchs quand même. La pression n’est pas sur lui. Elle est sur l’équipe. C’est elle qui gagne, ou pas, les matchs.

Sur votre pelouse, Valence-Romans avait égalisé au bout des arrêts de jeu, Nice vous avait privé du bonus offensif, avez-vous changé votre approche ?

Le maître mot de la semaine était "persévérance". Nous devons persévérer jusqu’à obtenir ce que nous voulons. Nous n’avons surtout rien lâché même si nous avons été acculé dans notre camp dans les trois dernières minutes des arrêts de jeu. Nous avons tenu, nous n’avons pas rompu.

Vous n’étiez pas loin du bonus contre Nice, vous l’obtenez à Suresnes, vous battez Albi, une équipe du top 4, vous avez l’impression de passer un palier ?

Nous sommes bien en ce moment. Nous sommes dans une bonne phase, nous évoluons bien. C’est bon pour la suite. Un gros enchaînement de matchs arrive.

Est-ce l’un des matchs les plus intenses du CSBJ depuis que vous êtes sur le banc ?

Ce n’est pas l’un des plus intenses. Mais nous avons débuté le match d’une bonne manière, et nous l’avons bien continué. En terme de régularité, c’est l’un de nos meilleurs matchs.

Vous êtes hors-jeu !

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