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L'opinion du Midol de Stade français - Montpellier : dans l'équipe à "Jojo"

  • Face à Montpellier, Joris Segonds a brillé de mille feux, que ce soit dans l'animation offensive ou au niveau des tirs aux buts.
    Face à Montpellier, Joris Segonds a brillé de mille feux, que ce soit dans l'animation offensive ou au niveau des tirs aux buts.
Publié le Mis à jour
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Face aux champions de France montpelliérains, Joris Segonds fut non seulement parfait dans ses tirs au but mais également très pertinent dans l'animation offensive. Jojo peut-il aller plus haut ?

Loin de nous l’idée d’affirmer que Joris Segonds est un produit fini. Après tout, l’ouvreur parisien se fit bel et bien transpercer par le colosse fidjien du MHR Masivesi Daquwaqa, en début de rencontre. Mais ce genre de péripétie est arrivé à d’autres que lui, n’est-ce pas ? Toujours est-il qu’au lieu de sortir de son match, comme l’aurait fait un être humain lambda, le demi d’ouverture parisien se releva de la plus belle des manières après ladite collision pour reprendre en mains un match qui, jusque-là, était plutôt mal barré pour les siens. Segonds ? Il fut d’ores et déjà remarquable dans son jeu au pied d’occupation et, auteur d’un 100 % dans ses tirs au but face aux champions de France en titre, il permit indéniablement au Stade français de convertir la majeure partie de ses temps forts, à Jean Bouin.

Au sujet du « patator » parisien, le débat est souvent le même : est-il juste un gros pied droit ? Samedi après-midi, il a une nouvelle fois prouvé que non : très à l’aise derrière un paquet d’avants toujours aussi dominant, Joris Segonds fut donc quasi parfait dans l’animation offensive, servant à merveille ses ailiers Lester Etien, Sione Tui et Peceli Daquwaqa par de très longues passes ou attaquant la ligne adverse avec un appétit évident. La suite, vous dites ? Disons qu’au niveau au-dessus, les places sont chères et déjà occupées par Romain Ntamack, Matthieu Jalibert ou Antoine Hastoy. Mais une chose est sûre : malgré la montée en puissance du talentueux Léo Barré, Joris Segonds est bel et bien l’indiscutable demi d’ouverture du Stade français, que ce soit sous le règne actuel de Gonzalo Quesada ou celui, à venir, de Laurent Labit et Karim Ghezal...

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