Abonnés

6 Nations, c’est parti !

Par Jérôme Fredon
  • 6 Nations, c’est parti !
    6 Nations, c’est parti !
  • 6 Nations, c’est parti !
    6 Nations, c’est parti !
  • 6 Nations, c’est parti !
    6 Nations, c’est parti !
Publié le Mis à jour
Partager :

Le lancement officiel du Tournoi s’est tenu le mercredi 27 janvier à Londres.

Le comité des 6 Nations avait décidé de quelque peu innover cette année en se mettant à l’heure du numérique. Pour la première fois de son histoire, le lancement officiel du Tournoi était en effet diffusé en streaming sur la plate-forme de partage de vidéos en ligne, Youtube. Dans le cadre très chic du Hurlingham Rugby Club de Londres, les capitaines des six équipes en lice ont posé aux côtés du nouveau trophée en argent massif conçu par un célèbre orfèvre londonien. Cette nouvelle coupe remplace celle créée lors de l’édition 1993 car elle ne représentait jusqu’alors que les équipes participantes au feu Tournoi des 5 Nations. Les emblèmes des six nations sont chacun représentés sur les six faces de ce trophée haut de 75 cm pour un poids total de 7 kg. Les années d’adhésion de chaque pays sont aussi gravées sur le socle.

Dusautoir évoque ce « rendez-vous »

Une fois les photos d’usage effectuées, les six capitaines ont répondu aux questions du Monsieur loyal de la cérémonie avant de se plier aux entretiens en tête-à-tête avec la presse. L’Irlande était représentée par Paul O’Connell, l’Italie par Sergio Parisse, le pays de Galles par Sam Warburton, l’Angleterre par Chris Robshaw, l’Écosse par Greg Laidlaw et la France par Thierry Dusautoir.

À son corps défendant, le capitaine des Bleus a déclenché quelques rires dans l’assistance. En essayant d’évoquer ce que représentait le Tournoi à ses yeux, Dusautoir s’est quelque peu emmêlé les pinceaux, parlant de « rendez-vous de l’année pour les joueurs ». Un faux ami en anglais qui évoque plutôt les rencontres galantes. La palme est cependant revenue à son homologue écossais. Greg Laidlaw a déclenché un fou rire général en parlant de la manière « un peu barbare » dont Vern Cotter menait ses hommes à la baguette.

Vous êtes hors-jeu !

Cet article est réservé aux abonnés.

Profitez de notre offre pour lire la suite.

Abonnement SANS ENGAGEMENT à partir de

0,99€ le premier mois

Je m'abonne
Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?