Auch - Chambéry : le Soc limite la casse
Dans ce quart de finale aller, le club gersois a su rester maître sur ses terres.
Sur la pelouse du stade-Jacques Fouroux, du nom de celui avec qui il entraîna les « mammouths » de Grenoble, Michel Ringeval a respiré un grand coup quand M. Descottes a sifflé la fin. Quelques minutes auparavant, l’équipe de l’entraîneur savoyard était menée de onze unités, mais a su combler une partie de son retard grâce notamment à cette touche perdue à quelques mètres de la ligne pour le deuxième essai visiteur, au grand dam du manager auscitain Roland Pujo : « En fin de rencontre on s’est affolé, on s’est précipité. C’est dommage car on avait su rectifier le tir en seconde période. »
Rester positif
Une « rectification » due à une mêlée retrouvée qui dans ce deuxième acte après une première mi-temps équilibrée au cours de laquelle Juan Mangione avait su répliquer à Maxime Eberland dans un « copié-collé » d’école, le Chambérien récupérant une passe au pied d’Aviata Sigalo, comme l’ailier gersois avait su le faire sur un service de Nathan Thierry trois minutes plus tôt. Une entame de match qui augurait d’une belle empoignade et qui a tenu ses promesses. Après quatre-vingts minutes d’une lutte intense, c’est Auch qui est resté maître sur ses terres, mais qui aura fort à faire, dimanche prochain à Chambéry. Roland Pujo veut rester positif : « Soit on reste sur cette frustration de n’avoir pas su creuser un écart plus grand, soit on repart à zéro-zéro. Tout peut aller très vite en rugby ». La preuve. L.-L. D.
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