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Le réalisme strasbourgeois

Par midi olympique
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Publié le Mis à jour
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Strasbourg a confirmé son statut de favoris en s’imposant tout en puissance en finale contre Lavaur.

Pendant trente minutes, Lavaur occupait le terrain et dominait, légèrement, en conquête, suffisant pour mettre l’ailier, Delbos, en bonne position, pour marquer trois pénalités (13e, 22e, 30e). Problème, Strasbourg était plus puissant, plus réaliste surtout. Sur leur premier ballon d’attaque, il marquait entre les perches par leur ailier, Zambrelli, bien servi par son homologue, Naisilisili, auteur d’un numéro de funambule le long de la ligne (15e).

Réalisme impitoyable

Avant la pause, Strasbourg appuyait sur l’accélérateur et faisait preuve d’un réalisme impitoyable. Après une mêlée dans ses vingt-deux, le centre Wakanivuga monopolisait trois défenseurs et servait à nouveau Zambrelli. Il échappait à deux adversaires et sprintait sur quatre-vingts mètres pour s’offrir un doublé (38e). Et l’ouvreur, Pujo, punissait les fautes adverses dont celle d’Escarnot (40e+2). Auteur d’une obstruction aussi stupide qu’inutile dans ses vingt-deux, sur un ballon de récupération, elle fallut un carton jaune au deuxième ligne, et à ses coéquipiers de rentrer aux vestiaires avec quatorze points d’écart (9-23, mi-temps), un gouffre…

Peu après son entrée, Albouy marquait un essai de filou pour entretenir l’espoir (16-26. 55e). Il était de courte durée, les impacts de Wakanivuga étaient impitoyables. En deux minutes il créait deux brèches dans lesquelles se ruaient Gaborit (57e), puis Zambelli (59e). Strasbourg s’envolait vers le titre. S. F.

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