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Gonzalez: «Exploitons leurs points faibles»

Par midi olympique
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    Gonzalez: «Exploitons leurs points faibles»
Publié le Mis à jour
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L’équipe de France Féminine se prépare au choc du Tournoi, le France - Irlande de samedi soir à Perpignan. Jean-Michel Gonzalez, l’entraîneur, se confie sur cette rencontre à Aimé-Giral et sur l’avenir de l’équipe de France.

L’Irlande est la bête noire de cette équipe féminine de France. Comment appréhendez-vous ce match ?

Ça va être un match compliqué. C’est une belle équipe qui est en préparation de la Coupe du monde puisqu’elle se jouera chez elle, en 2017. Cette équipe est vraiment dans les starting blocs. L’Irlande sort d’un gros match contre les Galloises le week-end dernier, donc à nous vraiment de bien préparer ce match et de faire ce qu’il faut pour les battre. Elles ont des points forts et des points faibles aussi. À nous d’exploiter leurs points faibles.

Vous parlez de la Coupe du monde, comment l’envisagez-vous ?

On est en mode préparation. Il y a encore beaucoup de détections, il y a beaucoup de nouvelles joueuses, de jeunes joueuses qui sont avec nous. Jusqu’au mois de novembre, le groupe va être ouvert et, à partir de là, on va réintégrer les filles qui se sont concentrées sur le VII, on va fermer le groupe entre guillemets afin de préparer au mieux la Coupe du monde. Aujourd’hui on est vraiment dans la détection, évidemment avec l’objectif de gagner le Tournoi.

Votre groupe est particulièrement élargi pour ce Tournoi…

C’est que la vie est la même pour tout le monde ! Il y a des anciennes comme Gaëlle (Mignot), comme Safi (N’Diaye) qui sont là et après il faut que l’on pense à les remplacer à un moment. Donc il y a la jeunesse avec Agathe Sochat, Laure Sansus qui arrive. C’est la nouvelle génération qui est en train de s’habituer aussi à ces joutes de haut niveau.

Est-ce que la formation, notamment par le biais du pôle France, porte ses fruits ?

Tout à fait. Cela fait deux ans que l’on récupère les fruits du travail des prédécesseurs. Là on récupère des filles qui ont six, sept, huit ans de rugby derrière elles, depuis l’école de rugby, les trois années cadettes et puis les deux années moins de 20. Quand on les récupère, techniquement elles sont pratiquement au niveau. On fait des choses intéressantes avec elles. Chose qui n’était pas forcément vraie avant. Propos recueillis par A. P.

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