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Ludovic Radosavljevic : "Quand les Toulousains déroulent, c'est toujours compliqué"

Par midi olympique
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    Ludovic Radosavljevic : "Quand les Toulousains déroulent, c'est toujours compliqué"
Publié le Mis à jour
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Toujours premier du championnat avec Clermont, le demi de mêlée, Ludovic Radosavljevic fait part de sa déception après la défaite à Toulouse lors de la 25e journée.

Quel est votre sentiment après ce revers ?

On est forcément déçu parce qu’on était venu avec l’intention de faire quelque chose. On voit que même avec un début de match moyen on n’est pas très loin. On manque des points au pied (N.D.L.R. : 11) qui nous font mal mais, au final, on n'aurait pas été si loin que ça.

Qu'est ce qui a fait que les Toulousains ont été meilleurs que vous ?

Ils ont été très performants dans les rucks et les contre-ruck. Ils nous ont mis le bordel sur nos sorties de balle. Ca a été compliqué de mettre notre jeu en place surtout en première mi-temps. En défense, ils ont réussi à aligner plaquage et contre-ruck, c’est ce qui nous a mis en difficulté.

Vous aviez pourtant bien commencé le match...

On fait une superbe entame de match avec un bel essai sur une combinaison en touche. C’est dommage parce qu’ensuite on prend un essai à 14 et un autre sur un coup de pied où on ne chasse pas assez bien. On manque deux-trois plaquages aussi. On a beaucoup subit sur leurs passes après contact. Quand les Toulousains deroulent c’est toujours compliqué.

Aviez-vous pris ce match trop à la légère sachant que vous êtes assurés d'être qualifiés ?

On n’est pas venu sans pression. On voulait faire un bon match pour préparer les phases finales. Il ne faut pas croire qu’on était venu ici pour lâcher la rencontre. On est venu pour prendre des points même si le staff avait fait un peu tourner. C’était l’occasion de voir où on en est. C’est bien d’avoir des rendez-vous comme celui-là avant les phases finales. On sait ce qu’il nous reste à travailler. On essaye de se donner une forme de jeu que l’on essaye d’appliquer.

Propos recueillis par Léo Faure

 

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