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[Portrait VII masculin 3/13] Dall'Igna, l'ancien

Par midi olympique
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Publié le Mis à jour
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Jusqu’au début des jeux Olympiques prévu le 5 août, nous vous proposons chaque jour le portrait d’un des membres de l’équipe de France masculine. Aujourd’hui, c'est au tour de Manoel Dall'Igna, un des cadres de l’équipe de France.

50 tournois IRB pour 255 points inscrits, pour un talonneur du VII, c’est tout à fait honorable.

Manoel a disputé son premier tournoi avec le 7 à Dubaï en 2011, il est l’un des plus anciens joueurs de la bande à Pomarel. Le talonneur des Bleus a la particularité d’avoir trois poumons. « C’est un joueur qui est sur la répétition des tâches, qui ne s’arrête jamais, dit de lui Pomarel. Il doit être un lien permanent entre tous les joueurs pour colmater les brèches.» « Mano », blessé à une cheville et longtemps handicapé en début de saison, a su revenir à son meilleur niveau pour réaliser une partie de son rêve : participer aux JO. Avant de réaliser la seconde partie…

Dall’Igna est issu de l'école de rugby du Sporting club royannais (Drôme). Il fait toutes ses classes là-bas et suit la filière classique de l'école de rugby du SCR : benjamins, minimes, cadets (mini-poussins au rugby club amandinois dans le Nord), puis en 2002-2003 il joue en junior et est sélectionné en équipe Drôme-Ardèche au poste de trois-quarts centre. Il rejoint Montpellier avec qui il devient champion de France Espoir en 2008.

Manoel rejoint l'effectif du Stade rochelais en 2010. En 2011, il s'engage avec la Fédération Française de rugby et intègre l’équipe de France de rugby à VII. Il a réellement commencé le VII en 2007 avec les espoirs, cela lui a tout de suite plu, surtout après son expérience en professionnel avec Montpellier.

Le plaisir y est, il accroche tout de suite. « Au niveau du combat il y a un peu moins d’impact. C’est de la gestion d’effort, contrairement à XV. On est dans les fréquences cardiaques hautes. C’est un sport en constante évolution, la preuvre avec l’intégration du club France. On utilise les structures du CNR. On a un groupe qui rigole beaucoup, on vit très bien ensemble, c’est positif. »

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