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Pierre : « Des tests à balles réelles »

Par Emilie Dudon
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    Pierre : « Des tests à balles réelles »
Publié le Mis à jour
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Le capitaine palois, Julien Pierre, fait un point sur l’état de son groupe à quelques semaines du début de la saison.

Vous avez été nommé capitaine pour la deuxième année consécutive. Est-ce un signal fort ?

Bien sûr. C’est un signe de confiance du staff qui me fait plaisir mais, en même temps, c’est le groupe qui vit et pas Julien Pierre capitaine qui fait vivre le groupe alors c’est un peu anecdotique. Je suis venu à Pau l’an passé pour relever un nouveau challenge, parce que le discours me plaisait. Il continue à me plaire aujourd’hui, les choses dont on m’avait parlé se sont réalisées. C’est un club qui a énormément d’ambition, qui se construit petit à petit après neuf ans en Pro D2 et qui continue d’avancer. Je suis heureux de faire partie de cette nouvelle aventure. Je m’y investis en tant que capitaine mais je m’y investirais de la même manière si je ne l’étais pas.

Abordez-vous cette saison différemment de l’an dernier ?

Il y a eu des renforts importants dans le groupe, des joueurs plus matures qui connaissent les joutes de Top 14. Nous aurons plus d’expérience à ce niveau-là. Quant à l’état d’esprit, il est aussi bon que l’année dernière. Il y a un super groupe ici. Je le dis souvent et cela peut paraître un peu cliché mais c’est la réalité.

À titre personnel, c’est différent également ?

Quand on arrive dans un groupe, on est forcément dans un état d’esprit différent que quand on le connaît. Du coup, ce n’est pas exactement la même chose. Mais j’ai toujours la volonté de donner le maximum pour cette équipe, que je joue ou que je ne joue pas. Il faut que le groupe continuer à avancer, à grandir et je dois l’y aider. Il faut gagner un maximum de matchs ensemble et se faire plaisir.

Cette deuxième saison en Top 14 sera-t-elle plus ou moins difficile que la précédente ?

Voilà quelques années que je joue en Top 14 et je n’ai jamais connu de saison facile. Le niveau est très exigeant, il y a deux clubs sur quatorze qui descendent. Potentiellement, cela représente un club sur sept, ce qui est énorme. Encore une fois, ce sera très dur et très long. Tout le monde nous dit que notre début de championnat sera délicat (déplacement à Castres, réception de Toulon et de Bayonne, N.D.L.R.) mais toutes les équipes ont un calendrier délicat parce que c’est le championnat qui est comme ça.

Pau aura joué deux matchs amicaux à l’intersaison. Comment jugez-vous le groupe ?

Ce sont des matchs de travail, qui permettent de se tester à balles réelles. Tout va très vite vous savez : nous avons repris le 10 juillet et le championnat arrive déjà alors c’est bien de pouvoir se jauger. Il reste beaucoup de réglages à effectuer mais ces rencontres sont faites pour ça.

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