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Bruges - Blanquefort : Sans oser le dire...

Par midi olympique
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Publié le Mis à jour
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À Bruges, le rugby féminin existe depuis depuis vingt-trois ans. Il est sur le point de retrouver de sa splendeur.

Ce n’est sans doute pas un hasard si l’ES Bruges-Blanquefort détient le record national de longévité d’un club mixte. Créée en 1993, l’activité rugby féminin de la structure girondine a acquis au fil des ans une indiscutable notoriété. Dirigeants, éducateurs et joueuses sont fiers de cette tradition et enthousiastes à l’idée que l’avenir leur appartient toujours. La capitaine Lucie Castel et ses coéquipières réalisent un parcours qui autorise toutes les espérances et qui rend crédible l’objectif, validé par les présidents Delphine Pelisse et Robert Gaymu, d’accéder enfin à la compétition Armelle Auclair. L’embellie que vivent les seniors invaincues après quatre matchs en inscrivant une moyenne de 32 points, n’a d’autres origines que leur sérieux et leur dynamisme étroitement associés au travail d’un encadrement très investi. La profondeur et la compétence de ce staff réjouit Marina Gasmi Mongin la responsable du pôle féminin de l’ESBB : « Nous avons un nouveau coach principal, Nicolas Laclau, issu de l’enseignement d’EPS, qui fait l’unanimité au club. Il a aussi en charge la préparation physique et nos joueuses sont en excellente forme. Auprès des avants, André Berthozat, très apprécié, apporte toute son expérience en termes de conquêtes. Marjorie Chabot œuvre à ses côtés depuis trois ans. Elle est présente au club depuis dix-sept ans et elle a décidé cette année de mettre un terme à sa carrière de joueuse. Guillaume Soppelsa tient aussi un rôle important et nous avons enregistré avec plaisir l’arrivée d’un ostéo, Audric Imbert, ancien joueur qui a en charge l’amélioration du jeu au pied. Cette structure doit nous aider à viser le plus haut… sans oser le dire. »

Le chantier des cadettes

L’ESBB nagerait dans le bonheur si l’effectif des cadettes qui ont été son point fort, n’avait pas fondu comme neige au soleil. Devenu cette année manager général du club après avoir entraîné les féminines, Fred Diéval a pris à bras-le-corps un projet de développement : « Nous avons une équipe première de qualité et nous devons travailler sur notre limite actuelle en matière de jeunes pour mieux ambitionner l’Armelle Auclair et nous y maintenir. » Le vaste chantier est ouvert. L’ESBB a encore de beaux jours devant elle.

Par Gérard Piffeteau

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