Abonnés

Fabrice Landreau : « Béziers peut gagner en clarté »

Par midi olympique
  • Fabrice Landreau : « Béziers peut gagner en clarté »
    Fabrice Landreau : « Béziers peut gagner en clarté »
Publié le Mis à jour
Partager :

L’ancien manager de Grenoble a terminé la semaine dernière son audit de l’ASBH, entamé à la mi-janvier. 

Comment s’est déroulée votre mission à l’ASBH ?

Très bien, j’ai eu droit à un excellent accueil. Cet audit est à l’origine une demande faite par les présidents et le directeur général du club. Je n’intervenais pas sur le sportif, dans la conception du plan de jeu ou les entraînements, que ce soit bien clair. C’est la pleine responsabilité des deux David (Aucagne et Gérard, N.D.L.R.). Mon rôle était de réaliser des entretiens avec les personnes qui interviennent dans les différents secteurs du club. Les membres du secteur professionnel, mais aussi l’intendant, le responsable de la restauration ou le centre de formation et l’ensemble de l’association.

 

Quelles sont vos observations ?

J’ai été très agréablement surpris par la qualité des infrastructures. Sportivement parlant, tout est réuni pour bien travailler. J’ai noté plein de bonnes choses, mais aussi quelques dysfonctionnements ou blocages, qu’on peut facilement régler.

 

Par exemple ?

Selon moi, l’enjeu principal pour l’ASBH est de rendre beaucoup plus transversale sa communication, qui est aujourd’hui un peu tortueuse, en créant des passerelles pour mettre en lien direct tous les services. Au niveau des fonctions et des rôles, il devra peut-être y avoir aussi des repositionnements de personnes. Le club, secteur pro et association, peut grandement gagner en clarté et en réactivité dans son fonctionnement. Je remettrai mon rapport la semaine prochaine aux présidents, à qui la décision finale appartient.

 

Cette mission peut-elle être renouvelée ou en entraîner une autre à Béziers ?

Je ne sais pas s’il y aura une autre commande du club. Mais s’il y a d’autres missions, à réaliser, pourquoi pas ! En tout cas l’ASBH est novateur dans sa démarche, en faisant appel à une personne extérieure issue du monde du rugby pour réaliser un audit. À ma connaissance, je ne crois pas que d’autres clubs français l’aient fait, alors que c’est courant dans l’hémisphère Sud et dans les pays anglo-saxons. […]. à titre personnel, c’est un secteur d’activité que je souhaiterais développer dans le futur. Après avoir passé un mois en Australie et en Nouvelle-Zélande, pour m’inspirer de ce qui se fait en rugby à XV et à XIII, mais aussi en football australien.

 

Propos recueillis par Julien Louis

Vous êtes hors-jeu !

Cet article est réservé aux abonnés.

Profitez de notre offre pour lire la suite.

Abonnement SANS ENGAGEMENT à partir de

0,99€ le premier mois

Je m'abonne
Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?