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Bourg en Bresse n’a pas tremblé pour assurer mathématiquement sa place en demi-finale. Place désormais aux matchs couperets.

Après une victoire étriquée contre Bourgoin et un large revers à Rouen, Bourg-en-Bresse s’est largement imposé contre des Strasbourgeois valeureux mais trop limités face à des Bressans, doublement revanchards après leur dernier revers en Normandie et en Alsace au match aller. Bourg-en-Bresse n’a pas laissé place au doute sur sa pelouse, s’offrant une fin de match en roue libre. « Nous avons fait une meilleure prestation que la semaine dernière, se réjouissait l’un des entraîneurs Thomas Choveau. Nous avons fait une très bonne première mi-temps. La deuxième mi-temps est plus anecdotique. Nous n’avons pas toujours bien défendu. Cela a pris des allures de match amical. »

Peaufiner les réglages

L’important était ailleurs. L’USBPA a validé sa présence demi-finale et s’est même offert le luxe de mettre la pression sur Albi. Mieux, même si cela ne faisait guère de doutes, elle est bien partie pour recevoir au retour lors des demi-finales. « Je ne sais pas si c’est un avantage, prévient le technicien. Toutes les équipes sont très proches. Et par le passé, cela pas toujours été un avantage. Et si on tombe contre Rouen, ce sera compliqué. Les Normands marchent sur l’eau en ce moment. »

La qualification acquise, les Bressans, qui renoueront la compétition dans deux week-ends, à Chambéry, pour une répétition grandeur nature, vont maintenant se tourner vers la préparation des phases finale. Les prochains travaux porteront sur le physique, pour arriver en forme pour les matchs couperets. Sans oublier de peaufiner les réglages. « Nous devons mieux appréhender certains aspects stratégiques, comme l’occupation du terrain. C’est important, notamment pour les matchs à l’extérieur. » En espérant que l’infirmerie se vide. Samedi soir, plusieurs joueurs ont encore souffert : le pilier Drancourt (cervicales), le troisième ligne Jean-Etienne (nez cassé ?) et l’ouvreur Gros (genou).

 

Par Sebastien Fiatte 

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