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Clarkin : «Concrétiser toutes les choses positives»

Par Pablo ORDAS
  • Matthew Clarkin (Biarritz)
    Matthew Clarkin (Biarritz) Icon Sport
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Midi Olympique : Quel bilan faites-vous des matchs amicaux ?

Matthew Clarkin : Ils furent très positifs. Nous avons fait un premier bon résultat face à un concurrent direct pour une place dans les six. Nous avons pu tester beaucoup de joueurs et ça a confirmé le bon travail qui avait été effectué en amont. Face à l’UBB, pendant 65 minutes, nous avons bien tenu contre une équipe forcément supérieure à nous. Nous avons pu voir un très bon état d’esprit. À la fin du match le score était lourd, mais nous avons fait le choix de faire jouer pas mal de jeunes.

 

Qu’est ce qui vous a plu dans votre équipe ?

M.C. : Depuis des mois, nous travaillons sur un nouveau projet sportif et nous cherchons à créer une nouvelle identité et un nouvel état d’esprit. Dans ces deux matchs, nous avons pu voir ça, ainsi qu’une certaine exigence dans l’effort. C’était très intéressant.

Vous n’avez pas joué vendredi dernier. Quel a été le programme de ces quinze derniers jours, alors que la ville de Biarritz reçoit, ce week-end, le G7 ?

M.C. : Ce n’est pas une semaine facile à gérer. On nous a mis en dehors du stade. Actuellement, nous sommes SDF (rires). Le Saint-Jean-de-Luz Olympique nous accueille gentiment pendant cette semaine. Nous avons de bonnes installations pour travailler, mais ça a demandé une organisation différente parce que nous avons dû déplacer tout le matériel. Il y a plein de choses à adapter, puisque nous jouons dimanche, mais nous connaissons l’importance de ce premier match et nous le préparons sérieusement, parce que nous avons tous envie de concrétiser toutes les choses positives faites depuis la reprise au mois de juin. Nous avons donné rendez-vous aux joueurs à Tarnos, samedi, histoire de s’éloigner de Biarritz pour ne pas être embêtés. Puis nous partirons en bus jusqu’à Aurillac où a lieu, actuellement, le festival international de théâtre de rue. On quitte Biarritz, où c’est le bordel, et on arrive à Aurillac où nous n’avons pas trouvé d’hôtel, donc nous logerons à une demi-heure de là-bas. Au niveau logistique, ça ne pouvait pas être plus embêtant. Mais c’est à nous de faire en sorte que, malgré toutes les contraintes, ce soit une expérience positive.

 

Quel regard portez-vous sur cette équipe d’Aurillac qui, l’an dernier, a lutté pour le maintien ?

M.C. : On sait très bien que, chaque année, un nouveau cycle commence. Nous avons vu les images de leurs matchs amicaux. C’est sérieux, solide et très fort sur les fondamentaux. Si nous y allons en demi-teinte, on se cassera les dents. C’est un très bon challenge pour commencer.

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