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Le tournoi Ovalyonne ouvert au monde

Par Sébastien Fiatte
  • Lauréates des deux dernières éditions, les Clermontoises vont remettre leur titre en jeu.
    Lauréates des deux dernières éditions, les Clermontoises vont remettre leur titre en jeu. DR
Publié le
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Le tournoi Ovalyonne double de volume et accueillera seize équipes à Lyon les 1er et 2 avril. Et il croise les doigts pour ne pas être perturbé par des dispositions sanitaires...

Jouera ? Jouera pas ? La question taraude beaucoup de sportifs. Du côté de l’université de Lyon, on espère que l’édition d’Ovalyonne ne sera pas impactée. "J’espère que cela ne va pas nous éclater dans les doigts à cause du virus, souffle Stéphane André, professeur d’EPS et responsable du rugby au SUAPS. Mais il n’y pas d’échanges avec des pays à risque." Pour sa 4e édition, Ovalyonne a pris une sacrée dimension. Le tournoi passe de huit à seize équipes, avec les principales équipes universitaires françaises - Clermont (double tenant du titre), Bordeaux (champion de France), Paris XIII (finaliste) et, bien sûr, des équipes de la région : Lyon, Grenoble, Insa Lyon - et de nombreuses équipes étrangères.

De l’Angleterre au Chili

Parmi elles, citons les Sud-Africaines de Fort Hare, présentes l’année dernière, reviennent, accompagnée de l’université de Pretoria, championne nationale ; les Anglaises de Bristol, qui participent depuis le début, ne seront plus les seules représentantes du Royaume-Uni puisque Oxford les accompagne. Deux équipes espagnoles (Valence, Gérone), une Chilienne (Santiago) et une mexicaine (Mexico) complètent le tableau. "Une équipe d’étudiants a démarché des équipes étrangères et le bouche à oreilles a également bien fonctionné, se réjouit Stéphane André. Concernant les équipes françaises, nous avons réussi à ce qu’il n’y ait pas d’autres dates."

La représentation est donc quasiment exhaustive pour un tournoi qui, à force de volonté, est en train de devenir incontournable dans le calendrier. Soutenu par l’université, les collectivités et des partenaires déjà engagé dans le rugby, il reste maintenant à croiser les doigts pour qu’aucun grain de sable ne vienne perturber sa bonne tenue. Il restera ensuite à préparer la prochaine édition. "Nous sommes presque mondial, sourit le professeur. Il ne manque qu’une équipe océanique !"

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