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Brive : tournée des gros, étape 1 sur 4

Par Vincent BISSONNET
  • Said HIRECHE
    Said HIRECHE Icon Sport - Icon Sport
Publié le Mis à jour
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Brive - Après avoir enchaîné les déplacements chez des rivaux pour le maintien, les Corréziens passent aux grosses écuries. Avec quelques intentions, tout de même.

Sur les trois derniers mois, Brive avait rendu visite à la grande majorité de ses rivaux : Agen, Castres, Pau et Bayonne. Pour un bilan remarquable de trois succès et un point de bonus. Cette remarquable faculté à l’export — couplée à une épatante résilience à domicile — a permis aux Corréziens d’équilibrer leur bilan et de se placer en ballottage favorable dans le minichampionnat de la deuxième partie de tableau. "Nous avons fait un grand pas vers le maintien", pouvait sourire Jeremy Davidson après la victoire arrachée face à Bordeaux-Bègles. Depuis, la performance de Bayonne à Toulon a quelque peu changé la donne et rappelé une vérité à toutes les équipes concernées : la lutte sera farouche jusqu’au bout avec une douzième place amenée à se jouer aux alentours de 45 points. Les huit longueurs d’avance sur Pau offrent une marge de manœuvre mais ne garantissent encore rien.

"Pas pour en prendre cinquante"

S’il reste quatre réceptions au Stadium, dont la venue de la lanterne rouge agenaise, pour assurer sa présence dans l’élite, le CABCL serait tout de même inspiré de grappiller quelques unités loin de ses terres. Et ce même si le calendrier peut intimider : les derniers déplacements de la saison les mèneront à Toulouse, Clermont, Lyon et dans l’arène du Racing 92. Ça peut piquer… "Un match à l’extérieur sur la pelouse du Stade toulousain, on sait à quoi s’attendre, se projette Guillaume Galletier. Mais la réalité est que tous les points sont bons à prendre dans notre lutte à distance. Si l’on peut en accrocher là aussi… En tout cas, on ne va pas y aller pour en prendre cinquante."

Avec un XV de départ remanié au gré des choix et des absences, les Brivistes chercheront aussi au passage à tenir leurs promesses collectives. Celles d’un groupe homogène et dense, capable d’exister en toutes circonstances : "Nous avons un bon effectif avec du monde de disponible, évoque le manager. Ça fait plaisir de voir que tout le monde peut se battre pour avoir du temps de jeu." Reste à voir si ce discours tiendra encore samedi soir…

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