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Wieczorek : « Forger l’état d’esprit »

Par Yanis Guillou
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    Wieczorek : « Forger l’état d’esprit » MIDOL - Midol
Publié le Mis à jour
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L'entraîneur des avants montalbanais dresse un bilan de la préparation et s'attend à un match piège face à Bourg-en-Bresse. 

La préparation touche à sa fin, place maintenant aux choses sérieuses…

Ce qui était important, c’était de monter crescendo sur les matchs de préparations, pour arriver prêts pour ce premier match. Bien sûr qu’aujourd’hui, aucune équipe n’est prête à 100 % mais on va continuer à se perfectionner sur le plan stratégique et tactique au fur et à mesure.

Vous mettriez une bonne note aux joueurs pour cette préparation ?

(Rires) Ce qui est très compliqué dans tout ça, c’est que le juge de paix de notre préparation, ce seront nos premiers matchs. Si nous gagnons les trois matchs de préparation mais que nous perdons les trois premiers matchs de championnat, tout le monde s’en moquera qu’on ait fait une bonne préparation. Ce n’est pas une question de mettre une bonne note, ce qui est important, c’est de progresser de match en match. Ce qui a été plutôt le cas en préparation.

Quel était l’objectif de ces premiers matchs ?

C’était vraiment de forger l’état d’esprit du groupe. On a terminé avec une équipe de Top 14 qui a vraiment un état d’esprit irréprochable dans l’engagement pour se tester sur ce point-là. Je pense que les joueurs ont répondu présent sur ça.

Le groupe a beaucoup changé cette année, ça se ressent encore ?

Ça fait deux ans qu’il y a un gros turnover dans l’effectif. On avait déjà vécu ça sur la préparation de l’année dernière. Il n’y a pas de difficulté particulière avec ça, aujourd’hui, il y a des effectifs qui bougent tous les ans. J’ai trouvé ça plus facilitant cette année que l’année dernière.

La deuxième ligne a été quasi intégralement changée…

Tout à fait, c’est l’un des gros chantiers de l’année dernière. On cherchait de la taille et de la puissance et on voulait insuffler un nouveau vent frais dans cette deuxième ligne. On est allé chercher des joueurs de devoir, avec un état d’esprit « guerrier » qu’on attend. Je suis plutôt satisfait du travail qui a été fait.

Le staff a aussi été complété avec l’arrivée de David Gérard…

On est plus nombreux, mais ça a été une arrivée en douceur : on n’est pas reparti de zéro. C’est un avantage d’avoir un regard extérieur par rapport à la saison dernière, au-delà de l’expérience de David. On profite de son expertise et ça fait avancer tout le monde, on est content de son arrivée.

Commencer le championnat contre un promu, c’est toujours particulier ?

Oui, je pense que ce sera un match très difficile. Il faut l’aborder avec beaucoup de respect vis-à-vis de cette équipe qui sera dans l’euphorie de la remontée en Pro D2, dans un stade qui risque d’être rempli. Je pense qu’en effet, ce sont des matchs difficiles à aborder.

Quelle sera la clé du match ?

Les bases de ce sport : conquête, discipline, combat. En ce début de saison, ces trois secteurs seront un facteur déterminant.

C’est d’ailleurs ce qui pourrait devenir la marque de fabrique de Sapiac ?

Bien sûr, après il n’y a rien de révolutionnaire. Il y a quinze autres équipes qui voudront faire la même chose que nous. Mais du coup, on va essayer d’être différents. 

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