Abonnés

Première réussie pour Cassus au Stade niçois

Par Jean-Christophe LECLAIRE
  • Première réussie pour Cassus au Stade niçois
    Première réussie pour Cassus au Stade niçois DR - DR
Publié le
Partager :

Le nouvel entraîneur des lignes arrière du Stade niçois, Jérôme Cassus, a apprécié le comportement de ses joueurs pour sa première à domicile.

Quel visage allait montrer le Stade niçois pour son premier match en 2022 ? Jérôme Cassus a succédé à Yannick Osmond lors de la trêve hivernale et si le nouvel entraîneur des arrières avait annoncé qu’il ne souhaitait pas « faire de révolution », des questions se posaient malgré tout. On se demandait quelle serait la température affichée au thermomètre de l’envie, de la combativité, de la solidarité et de l’efficacité d’une ligne de trois-quarts souvent désignée comme bouc-émissaire des mauvais résultats du club maralpin.

Ce que résumait très bien le néo-coach par cette volonté de vouloir avant tout de « changer l’état d’esprit ». Pour cela, l’ancien centre du « feu » RRC Nice avait misé sur une charnière sans beaucoup d’automatismes composée de Bessaguet et Verdu, le retour en grâce de la puissance de Julien Fritz au centre et le replacement de l’expérimenté Loïc Le Gal par Augustin Slowik, plus souvent utilisé à l’aile.

Slowik s’est démené

D’abord, on s’est dit que les trois-quarts n’étaient pas guéris, au vu de ces premières munitions gâchées par un cruel manque de réalisme. Mais on a aussi senti que l’atmosphère était électrique grâce à des prises d’intervalle de Sakiusa Bureitakiyaca et Thibaut Zambelli, ainsi que des charges dévastatrices de Julien Fritz. De la solidarité aussi lorsque Slowik se démenait sur tous les fronts en attaque et en défense. À l’issue de la rencontre, Jérôme Cassus pouvait être satisfait de la prestation de ses joueurs. Il prenait le temps de les féliciter un par un, histoire de transmettre ce brin de confiance qui a longtemps quitté les Arboras. « La confiance était difficile à générer, raconte le coach, et je suis extrêmement satisfait là-dessus. Nous avons trouvé des solutions sur des situations d’équilibre que l’on n’avait pas l’habitude de faire avec beaucoup de convictions et d’engagements. »

Seule petite ombre au tableau : la finition, qui a manqué aux trois-quarts niçois pourtant gavés de ballons. Le coach ne voulait garder que le meilleur pour sa première : « On ne peut tout régler en peu de temps. L’objectif était de changer l’état d’esprit. Pour les ajustements, nous verrons plus tard. »

Vous êtes hors-jeu !

Cet article est réservé aux abonnés.

Profitez de notre offre pour lire la suite.

Abonnement SANS ENGAGEMENT à partir de

0,99€ le premier mois

Je m'abonne
Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?