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Pro D2 - Pour Grenoble, après l’heure, ce n’est plus l’heure

Par Jean-Pierre DUNAND
  • Malgré une infirmerie bien remplie, les Grenoblois devrot être prêts dès le coup d’envoi face aux Agenais qui visent le top 4. Photo Icon Sport
    Malgré une infirmerie bien remplie, les Grenoblois devrot être prêts dès le coup d’envoi face aux Agenais qui visent le top 4. Photo Icon Sport Icon Sport
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Lors de leurs deux premiers matchs à domicile les Grenoblois ont dû courir après le score avant de s’imposer.

Coup d’envoi à 21 heures ! Le rappel sera-t-il affiché dans le vestiaire grenoblois lors de la réception des Agenais ? Aubin Hueber le formule à sa manière : "Après l’heure ce n’est plus l’heure. Nous allons affronter une équipe puissante, qui sait être efficace dans les zones de marque. Nous l’avons rencontrée en match de préparation et nous savons à quoi nous attendre. Si nous perdons du temps, si nous laissons des points dans l’entame, cela peut très vite devenir compliqué. Nous devrons être prêts dès le coup d’envoi pour ne pas connaître de retard à l’allumage."

Cette problématique d’une équipe à réaction semble récurrente pour les Isérois qui l’avaient connue la saison dernière et qui ont dû à nouveau s’employer pour la surmonter lors des deux premiers matchs disputés au stade des Alpes, face à Mont-de-Marsan et Biarritz. Mené 6 à 16 à la pause face aux Montois, Grenoble avait inscrit trois essais dans le second acte pour finalement s’imposer (30-25). Le scénario avait été de la même veine face aux Basques avec un débours conséquent après dix minutes de jeu (3-12) avant un large succès (40-22).

Une infirmerie bien remplie

Les Isérois travaillent pour gommer ce défaut, en atteste leur dernier match disputé à Aurillac où ils avaient même viré en tète à la pause (9-13) avant de céder (27-23). "À Aurillac nous sommes très vite rentrés dans le match… mais nous avons moins bien fini en nous retrouvant en souffrance dans notre effectif en raison de blessures", regrette le manager isérois.

Cette autre problématique d’une infirmerie bien remplie, Grenoble doit aussi composer avec. "Un joueur comme notre capitaine, Steeve Blanc-Mappaz, a disputé dans leur intégralité les cinq premiers matchs, parfois à un poste qui n’était pas le sien, comme d’autres dans le groupe", rappelle Aubin Hueber sans en faire une excuse. À cela vient en prime s’ajouter la menace, actuellement en suspens, d’un retrait de six points. "Il y a cette épée de Damoclès, mais nous devons en faire abstraction pour nous concentrer sur nos objectifs et gagner nos matchs", recadre Aubin Hueber convaincu des capacités de résilience de son équipe, avec une certitude sur le match de reprise qui l’attend : il ne faudra pas manquer le départ.

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