Une vingtaine d'abonnés Midi Olympique à la rencontre de François Cros grâce au club MyMidol

Par La rédaction
  • Une vingtaine d'abonnés Midi Olympique ont eu l'occasion d'échanger pendant plus de deux heures avec la rédaction et François Cros (Toulouse).
    Une vingtaine d'abonnés Midi Olympique ont eu l'occasion d'échanger pendant plus de deux heures avec la rédaction et François Cros (Toulouse). Midi Olympique.
Publié le Mis à jour
Partager :

Ce jeudi soir, une vingtaine d'abonnés Midi Olympique ont eu l'occasion d'échanger pendant plus de deux heures. Récit d'une soirée sous le signe de la bonne humeur.

Admirer ses idoles derrière son écran, c'est bien, les rencontrer et échanger avec eux, c'est mieux. Ce jeudi soir, une vingtaine d'abonnés du Midi Olympique ont eu l'occasion de discuter avec François Cros, le troisième ligne du Stade toulousain et de l'équipe de France. 

Les échanges ont débuté aux alentours de 19h30, et ne se sont jamais arrêtés pendant plus de deux heures. Héros de la soirée, Cros n'a évité aucun sujet, malgré les quelques questions de passionnés logiquement indiscrets. Bien évidemment, le sujet de la Coupe du monde a été évoqué, comment faire autrement avec un international à ses côtés...

"C'est toujours agréable de répondre aux questions de ceux qui nous soutiennent, a avoué le flanker toulousain. On voit qu'ils ont énormément d'interrogation et c'est un plaisir de les informer sur des sujets précis au niveau du rugby."

Abonné au Midi Olympique depuis "seulement" quatre ans mais lecteur régulier depuis plus de dix ans, Jacques Musset, un des chanceux du jour, a savouré : "François Cros est simple, authentique. Étant supporter de Toulouse, je suis honoré d'avoir passé une soirée à ses côtés. Je remercie "

"J'ai appelé mon fils François par rapport à toi..."

Jacques, de loin le plus bavard, était aux anges comme il l'a avoué au-dessus. Au moment de voir son joueur préféré, il lui a avoué un secret qu'il ne pensait pas dévoiler ce jeudi soir.

Il s'est élancé : "Le deuxième prénom de mon fils, c'est François, et c'est par rapport à toi." Une anecdote qui a laissé le principal concerné bouche bée : "J'ai vraiment du mal à y croire mais c'est gratifiant. Surtout que son fils à cinq ans aujourd'hui, et je n'étais pas grand chose en 2018, même pas international..." 

Les explications sont là : "Ma femme a choisi le premier prénom. Je lui ai dit "ok, mais le deuxième c'est pour moi". Et je voulais François." Mais pour quelles raisons ? "Je ne sais pas vraiment. Parfois, il y a des coups de coeur envers des joueurs qui ne s'expliquent pas. Je trouve que François Cros représente parfaitement le Stade toulousain. Il fait le boulot sur le terrain, et ne fait jamais de bruit en-dehors. C'est tout ce que j'aime." 

Les belles histoires, c'est aussi ça le rugby. C'est le meilleur moyen que nous avons trouvé pour résumer cette soirée, que certains auront vraiment du mal à oublier, et on les comprend.

Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?