International - Le XV mondial de l'année : élisez le meilleur pilier droit de 2023
L'année 2023 touche à sa fin. Jusqu'au 27 décembre, Rugbyrama vous laisse les commandes pour élire votre XV mondial de l'année. Au tour des piliers droits. Qui, selon vous, a été le plus fort en 2023 ?
Deux postes par jour jusqu'au 27 décembre, Rugbyrama vous offre l'opportunité d'élire votre XV mondial de l'année. Qui, selon vous, a été le plus fort en 2023 ?
Tadhg Furlong (Irlande)
C'est un incontournable depuis tant d'années maintenant. Si on a beaucoup évoqué (à juste titre), l'influence de Jonathan Sexton sur le jeu de l'Irlande et du Leinster, le pilier droit a encore une fois été une clé de voûte de ces systèmes. D'une part, il est fiable en mêlée fermée et surtout, très fort dans les phases de combat. Mais le joueur (qui a la particularité d'être addict à la pomme de terre !) est surtout un élément privilégié dans les lancements de jeu. Doté de grandes qualités ballon en main, il est en quelque sorte le pivot parfait pour recentrer la défense et faire jouer derrière lui. Le pilier moderne par excellence.
31 ans ; 1,83m, 119kg
Avec le Leinster : 8 matchs joués (6 comme titulaire).
Avec l'Irlande : 9 matchs joués (8 comme titulaire).
Francisco Gomez Kodela (Argentine)
On le disait trop vieux, plus assez mobile par rapport à ses jeunes vis-à-vis et aux standards du rugby international ? Le Puma s'est chargé de faire taire les critiques, en étant le pilier droit titulaire de l'Argentine au Mondial, jusqu'à la petite finale perdue face à l'Angleterre. Il a même suscité l'intérêt du Stade français, qui l'a recruté cette saison.
38 ans ; 1,84m, 122kg
Avec Lyon : 9 matchs joués (4 comme titulaire) pour 1 essai
Avec le Stade français : 5 matchs joués (2 comme titulaire)
Avec l'Argentine : 10 matchs joués (8 comme titulaire)
Tyrel Lomax (Nouvelle-Zélande)
A l'aube de la Coupe du monde, il semblait derrière Nepo Laulala et Fletcher Newell dans la hiérarchie d'Ian Foster. Mais ses performances ont parlé pour lui, et l'ont propulsé comme titulaire des All Blacks de l'Uruguay jusqu'en finale contre les Springboks. Une juste récompense pour un joueur travailleur mais souvent dans l'ombre de concurrents réputés.
27 ans ; 1,92m, 127kg
Avec les Hurricanes : 13 matchs (12 comme titulaire) pour 2 essais
Avec la Nouvelle-Zélande : 9 matchs (8 comme titulaire)
Frans Malherbe (Afrique du Sud)
Il a incarné à merveille la surpuissance des Springboks, et notamment devant. Si la mêlée fut souvent une bouée de sauvetage sud-africaine, le droitier n'y est pas étranger. Et son absence depuis la finale est honorable en un sens, puisque une blessure antérieure au Mondial au niveau du dos a empiré. Au pays, le désormais double champion du monde est nommé pour être joueur sud-africain de l'année, au même titre que les du Toit, Willemse, Etzebeth et Kolisi.
Avec les Stormers : 8 matchs (7 comme titulaire) pour un essai.
Avec l'Afrique du Sud : 11 matchs (10 comme titulaire) ; champion du monde.
Uini Atonio (France)
L'annonce de sa retraite internationale a soulevé un tel débat au sujet de sa succession qu'il est difficile de nier l'influence du Rochelais sur le XV de France. Heureusement Uini Atonio est revenu sur sa décision. Et cela doit soulager le staff du XV de France mené par Fabien Galthié, tant on connaît son affection pour l'ancien All Black. Précieux en conquête, il l'est aussi dans les duels, grâce à son gabarit hors norme, et forcément dans les ballons portés dont il couvre une grande surface.
33 ans ; 1,97m, 147kg
Avec La Rochelle : 18 matchs (dont 14 comme titulaire) pour 1 essai en finale de Top 14.
Avec la France : 10 matchs (dont 9 comme titulaire) pour 2 essais.
Zander Fagerson (Ecosse)
Son année est certes entachée par le carton rouge qu'il a reçu contre le XV de France en préparation du Mondial, et la suspension de trois semaines qui a suivi. Mais il n'en demeure pas moins une référence à son poste au niveau international.
27 ans ; 1,88m, 125kg
Avec Glasgow : 14 matchs (dont 12 comme titulaire) pour 1 essai.
Avec l'Ecosse : 8 matchs (tous comme titulaire).
Kyle Sinckler (Angleterre)
Un Tournoi au sein d'un collectif qui a sombré, mais qui a su redresser la barre de belle manière pendant le Mondial. Et quand il s'agit de conquête et de combat, valeurs refuge du XV de la Rose pendant la Coupe du monde, le joueur des Bears n'est jamais bien loin.
30 ans ; 1,79m, 116kg
Avec Bristol : 11 matchs (dont 9 comme titulaire)
Avec l'Angleterre : 12 matchs (dont 7 comme titulaire) pour deux essais
Tomas Francis (Galles)
Malgré l'année très difficile traversée par le rugby gallois, le pilier droit est allé jusqu'en quarts de finale du Mondial, en tenant la barraque en conquête et dans le jeu courant. Provence rugby a réalisé un très bon coup en le recrutant. Il fut d'ailleurs de la première vague de l'exode des joueurs gallois.
31 ans ; 1,85m, 135kg
Avec les Ospreys : 6 matchs (dont 3 comme titulaire)
Avec Provence rugby : 4 matchs (tous comme titulaire)
Avec le pays de Galles : 10 matchs (9 comme titulaire) pour 1 essai
James Slipper (Australie)
S'il ne fallait garder qu'une poignée de joueurs de cette annus horribilis pour les Wallabies, il en ferait sans doute partie. James Slipper a surnagé dans une équipe submergée, avec un impact au contact qui n'avait rien à voir avec celui de son équipe.
34 ans ; 1,85m, 115kg
Avec les Brumbies : 13 matchs (dont 12 comme titulaire) pour 2 essais
Avec l'Australie : 7 matchs (dont 5 comme titulaire).
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