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Norman Berryman meurt à l’âge de 42 ans

Par midi olympique
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Publié le Mis à jour
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En ce 23 juin, le monde du rugby néo-zélandais est une nouvelle fois endeuillé. Après l’énorme choc suscité par le décès de Jerry Collins, la Nouvelle-Zélande perd une nouvelle figure emblématique, Norm Berryman.

L’ancien ailier formé à Northland, avec qui il a disputé 107 matchs s’est éteint brutalement dans la nuit de lundi à la suite d’une crise cardiaque. Libre comme l’air, Norm Berryman était surnommé « la tempête » pour sa capacité à dévaster les défenses adverses et à faire monter le ballon le plus loin possible. L’enfant terrible de Wellington, élevé dans un environnement difficile, a été sauvé par le sport qui lui aura apporté bonheur mais aussi infortune. C’est chez les Crusaders où il arriva en 1998 qu’il se fera véritablement un nom dans le rugby. Cette année-là, lui et son équipe gagnaient pour la première fois le Super Rugby, et reproduisaient le même schéma les deux années suivantes. Ses performances remarquées lui auront valu une sélection avec les All Blacks en 1998 face à l’Afrique du Sud, à Durban et une sélection chez les All Blacks Maori en 1999 et 2000 puis en 2003 à son retour de France.

Toujours lui-même et allergique à la négativité, Norm Berryman avait plus d’une fois tenu tête aux dirigeants All Blacks durant les traditionnels camps d’entraînement. Pour l’anecdote, il avait une fois pris l’initiative de partir du camp en faisant du stop. Certains pensent que son caractère singulier lui aura fermé des portes alors que d’autres défendent l’idée que sa personnalité unique aura fait de lui une icône inoubliable. Son immense talent l’aura notamment fait évoluer chez les Blues (1996) puis chez les Chiefs (1997).

Un bout de carrière en France

En 2000, le colosse mettait les pieds sur le territoire français pour y passer trois ans. C’est à Castres qu’il commença son expérience française, il y restera deux saisons. Il avait ensuite pris la direction de Bourgoin-Jallieu, en 2002, dont il a porté les couleurs pendant une saison. Replié à Perth, sur la côte ouest australienne, depuis la fin de sa carrière, où il était devenu conducteur de chariot élévateur, ce héros culte avait fini par trouver l’équilibre entouré de ses six enfants. Midi Olympique adresse ses condoléances à sa famille et à ses proches. F. C.

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