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Harinordoquy: «Tout est à jeter et il n’y a rien à ajouter. »

Par midi olympique
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    Harinordoquy: «Tout est à jeter et il n’y a rien à ajouter. »
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Retour sur quelques déclarations vues dans le Midi-Olympique, ce lundi, après les matchs de ce week-end. Le Top 14 a reprit ses droits alors que le Tournoi des 6 Nations était au repos ce week end.

Graham Henry, l’ancien coach des All Blacks : « Une compétition ridicule avec des joueurs sur-payés et mal coachés… »

Raphaël Ibanez, entraîneur de Bordeaux-Bègles « Nous avons des joueurs de qualité et nous misons sur la fraîcheur et je ne veux pas revivre ce que nous avions vécu il y a deux ans et même la saison dernière. Notre objectif, c’est que nos joueurs soient en pleine forme pour les échéances de fin de saison. »

Zack Holmes, demi d’ouverture du Stade Rochelais : « Pour moi, il est une sorte d’exemple (Brock James), en débarquant jeune et en réussissant ici. Ce sera une bonne chose de l’avoir à nos côtés et pour moi d’apprendre de lui. Mais je veux continuer à jouer. »

Imanol Harinordoquy, troisième ligne centre du Stade Toulousain : « Cela a commencé dès le coup d’envoi (directement tapé en touche par Flood N.D.L.R) et on n’a jamais existé. Tout est à jeter et il n’y a rien à ajouter. »

Raphaël Chaume, pilier à Clermont : « Bien sûr que ce sont des retrouvailles qui comptaient pour moi. Cette rencontre à Nantes, je l’ai toujours gardée dans un coin de ma tête. Ça m’a toujours servi de leçon. C’était il y a trois ans désormais mais ce sont des erreurs de jeunesse qui continuent à me servir. Wihongi, c’est un joueur que je respecte énormément. Mais oui, franchement j’avais les crocs de jouer conter lui. »

Bernard Laporte, manager du RC Toulon : « Si j’étais président de la FFR, j’exigerais que les rencontres de ce genre soient disputées le jeudi, mais cela réclame un vrai courage politique. L’état actuel des choses et de notre effectif nous a permis de faire souffler Maxime Mermoz, pas Guilhem Guirado. J’en suis désolé pour lui. »

Gonzalo Quesada, directeur sportif au Stade Français : « Il y a deux ans, le Tournoi des 6 Nations nous a coûté cher, très cher. Avant le début du Tournoi, nous étions premiers du Top 14. À la fin de la saison, nous n’étions pas qualifiés pour la phase finale. »

Ben Hand, capitaine de Grenoble : « L’arbitre me prévient qu’à la prochaine faute, il sortira le carton jaune donc je réunis tout le monde et je dis aux mecs de faire attention. C’est au moment où je dis aux mecs de faire attention qu’on se fait piéger … »

Colin Slade, demi d’ouverture de la Section Paloise : « Je suis là pour aider. Il y a de bons mecs dans le groupe qui ont envie d’apprendre et de progresser. Les y aider fait partie de mon boulot. On s’entend de mieux en mieux, on agit en équipe en même temps qu’on devient amis. Ça rend mon boulot plus facile et plus je joue, mieux je me sens. »

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