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Toulouse se libère

Par midi olympique
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Publié le Mis à jour
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Le Stade toulousain renoue enfin avec la victoire, en s’imposant au Stadium à l’issue d’un match à sens unique.  Les Parisiens repartent de Toulouse sonnés.  

Lorsque Morné Steyn a ouvert le score à la quatrième minute en marquant une pénalité,  on imagina un instant que Toulouse passerait encore la partie à courir après le score.  Mais la fougue et l’envie des Rouge et Noir ne s’est pas faite attendre plus de dix minutes. Les hommes d’Ugo Mola ont progressivement repris l’ascendant en multipliant les temps de jeu, condamnant les Parisiens à redoubler d’efforts dans la défense. Le reste de la première période, malgré une conquête bien exploitée, s’est avérée difficile pour le Stade français, totalement effacé face à l’efficacité offensive des Toulousains. Les Haut-garonnais visiblement inspirés avant de regagner le vestiaire, sont parvenus à passer la ligne à deux reprises avant la fin de la mi-temps (28e, 35e).  A défaut de ne pas aller au bout de leurs actions, les Parisiens ont plus d’une fois démembrés la mêlée locale.  Néanmoins, le second acte ne s’est pas passé de la même façon. Egalement dominés en mêlée, les hommes de la Capitale n’avaient plus beaucoup d’avantages sur lesquels s’appuyer.  A l’heure de jeu, malgré des occasions et de l’engagement, le Stade français n’est pas parvenu à concrétiser. A la 74e minute, lorsque Clerc inscrit un doublé et Medard fait de même à la 79e,  ils libèrent enfin leur équipe de cette période noire qui débuta le 30 janvier.

 

L’homme du match

 

Maxime Médard s’est montré incroyable dans l’attaque. A l’origine de nombreuses initiatives offensives, il a fait preuve d’un grand dynamisme, en se glissant dans les intervalles comme une sourie se glisserai dans un trou. Il créa des occasions en or pour le reste des attaquants, notamment en apparaissant quand bon lui semblait, dans les espaces laissés par les adversaires. Son essai marqué à la dernière minute, est à l’image de son omniprésence durant 80 minutes.

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