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Paillaugue : « Le CO nous a toujours posé des problèmes »

Par midi olympique
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    Paillaugue : « Le CO nous a toujours posé des problèmes »
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Montpellier affronte le Castres Olympique en barrages de Top 14 dimanche à l’Altrad Stadium. Les Tarnais sont la bête noire du MHR, Benoit Paillaugue s’attend à un gros combat.

Castres est véritablement votre bête noire. Comment abordez-vous ce match ?

Cela va faire la cinquième fois que l’on va les jouer en phases finales. C’est un peu lassant, un peu pénible mais c’est comme ça. Ce n’est pas une équipe qui nous réussit. Sur ces cinq dernières années en phases finales, on a gagné qu’une seule fois chez eux. Mais on se dit aussi que c’est la première fois qu’on les reçoit en barrages à domicile. C’est un match excitant, il ne faut pas calculer et aller de l’avant.

Pourquoi cette équipe ne vous réussit pas ?

C’est une équipe qui arrive à chaque fois à nous contrer notamment sur les fondamentaux. En touche et en mêlée c’est important pour nous pour bien nous lancer et eux arrivent à nous mettre en difficulté. Cependant, les deux équipes ont pas mal évolué, les staffs ont changé des deux côtés. On aborde ce match comme une rencontre qui peut nous permettre d’aller à Rennes ou malheureusement d’être en vacances.

Les compteurs sont à zéro…

Exactement. Même si nous avons fini troisièmes et eux sixièmes, cela ne veut rien dire. Sur un match tout est possible. C’est 50/50 même on reçoit. On sait que ça va être difficile mais on a à cœur de faire un gros match et de faire oublier ce match raté au Racing.

Les phases finales requièrent beaucoup d’énergie. Penses-tu que le groupe en a encore assez pour aller au bout ?

Je l’espère. Même si la saison a été longue, on a cravaché pour jouer ses matchs là donc je ne comprendrais pas que l’on ne soit pas prêt. Physiquement, on est peut-être fatigués par rapport à d’autres équipes parce que l’on a beaucoup joué. Mais il faudra trouver cette fraîcheur mentale et physique pour se dépasser et se dire qu’après ce match il ne reste plus que deux rencontres pour soulever le Bouclier.

Le fait de jouer sous 30 degrés samedi…

On a l’habitude, peut être les Castrais un peu moins. Cela va être difficile pour les deux équipes. Il va falloir que l’on récupère bien jusqu’à ce match.

Vous aviez beaucoup d’ambition au Racing et vous avez perdu. Cela peut-il avoir une influence sur ce match ?

Non parce que l’on a fait un non-match. Il y avait de la fatigue aussi. Mais je ne pense pas parce que l’on s’est tout rendu compte que l’on n’a pas joué tout simplement. Il y a assez d’expérience dans cette équipe pour se remobiliser assez rapidement pour ce quart de finale. De toute façon on a pas le choix. On sait que le perdant rentre à la maison. On a envie de continuer.

Comment est l’ambiance dans l’équipe ?

On est tous excité de jouer ce quart de finale. Pour la plupart, ils sont venus de l’étranger pour jouer ces matchs-là. Je pense qu’ils ont hâte de le découvrir.

Trois anciens de la maison en face, est-ce que cela est important en vue des phases finales ?

Ça reste un match comme un autre. Même s’ils sont de la maison, ils savent qu’il n’y aura pas de cadeaux. Les six équipes qualifiées veulent être championne donc on ne peut plus se cacher.

Vous êtes hors-jeu !

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