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En pleine croissance

Par midi olympique
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Publié le Mis à jour
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Elite 1 - Top 8La coalition haut-garonnaise est désormais solidement installée au sein de l’élite féminine.

Si le revers aux allures de scénario catastrophe du 8 mai dernier a été l’équivalent d’un gros coup d’arrêt, inversement, nul ne saurait avoir la mémoire courte non plus. Deux ans seulement avant cette fatidique demi-finale perdue face aux futures championnes de France, le nouveau-né était encore engagé dans la course au maintien. De même, en avril 2015, d’aucuns ont le souvenir d’une formation submergée par l’émotion à l’idée d’affronter les lauréates montpelliéraines des deux précédentes éditions. Autant dire que le mariage d’amour et de raison entre Blagnacaises et Saint-Orennaises à l’été 2014 est une totale réussite.

Pour ne pas perdre de sa substance, tellement l’évolution du volet féminin de la discipline se fait à vive allure, le noyau dur historique se devait de trouver une autre tête de pont à la mesure de son pedigree. D’ailleurs, Thierry Magnaval, le président épaulé par Carole Lebugle et Philippe Humery, se veut rassurant : « Nous continuerons à disputer des rencontres à Saint-Orens. » Celle face à Romagnat, le promu auvergnat, a déjà été programmée le 25 septembre en banlieue sud-est de Toulouse.

 

 

Un cap à maintenir

 

Pas de titre majeur pour le groupe fanion copiloté, sous la houlette de Richard Caravaca et Émilie Belondrade, par éric Carrière et Nicolas Tranier (le frère de Laurent), mais beaucoup de satisfactions quand même. Les jeunes talents (Touyé, Necer, Leblanc, Frendo, et, avant celles-ci, les Soulard et autres Auriol) n’en finissent pas d’éclore au sein d’un vivier que l’encadrement souhaite de plus en plus en prolifique. « Les demandes d’inscription sont à la hausse », poursuit le frère d’un autre Laurent, en son temps redoutable « anesthésiste » du pack de Blagnac. Il est vrai que le pouvoir d’attraction du rugby à VII, dont Marjorie Mayans est une icône d’envergure nationale, est très fort auprès de la nouvelle vague. Une génération désormais encadrée par Herick Smith et David Escuder, puisque Bertrand Lartet se consacrera à la préparation physique. Autrement dit, à charge pour le BSORF d’assumer son récent changement de costume en décrochant, pour commencer, une troisième qualification consécutive pour le « final four » du printemps prochain.

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