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Giteau : « Je pense même ne jamais avoir pris autant de plaisir qu’en France.»

Par Vincent Bissonnet
  • Giteau : « Je pense même ne jamais avoir pris autant de plaisir qu’en France.»
    Giteau : « Je pense même ne jamais avoir pris autant de plaisir qu’en France.»
Publié le Mis à jour
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Ouvreur ou centre de Toulon, le Wallaby de 34 ans aux 103 sélections a accepté d’évoquer pour Midi Olympique son départ et de revenir sur ses riches six années en rouge et noir. Morceaux choisis d'une interview disponible intégralement dans le Midi Olympique Rouge de cette semaine.

Qu’est-ce qui vous aura le plus surpris, au quotidien ?

Je dirais les rapports entre les gens. Vu d’Australie, avec leur accent et leur manière de parler, les Français peuvent paraître arrogants. Mais ce n’est qu’une étiquette collée de loin… J’ai été étonné par la gentillesse des gens. Ils ont toujours été prêts à aider ou à filer un coup de main quand moi ou ma famille en avons eu besoin. Ça a rendu mon expérience française encore plus agréable.

 

Qu’est-ce qui restera le meilleur souvenir sur le terrain ?

Je dirais notre doublé, en 2014. C’était tellement fort. Il y avait cette sorte d’accomplissement sportif et le départ de Jonny Wilkinson dans le même temps. Il y avait une telle volonté au sein du groupe de lui offrir les deux titres. C’était un moment très spécial où tout était réuni.

 

Et en dehors des terrains ?

Je dirais les troisième mi-temps avec Drew à boire des coups. C’était tellement fun. On s’est vraiment éclaté… (rire) Mais en tant que père de famille, ce n’est pas la réponse appropriée. Le plus marquant restera la naissance de mes deux fils, assurément. Cela fait partie de tous ces moments en dehors des terrains qui ont marqué mon passage.

 

En parlant de personnages atypiques, un mot sur Mourad Boudjellal. C’est un président unique au monde, non ?

Heureusement qu’il l’est (rire)… Plus sérieusement, il a été à la base de tous les succès du club. Son soutien a été très précieux. Il a su s’entourer des bonnes personnes, recruter les bons joueurs, former les bons encadrements… Je le remercie de m’avoir attribué sa confiance, de m’avoir donné cette chance.

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