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Qualifié de sérieux et ambitieux, le projet du Stade Montois développe son attractivité.

Disons le tout net, le papier sur le Stade montois féminin paru récemment à cette même place a provoqué de nombreuses réactions à tous les niveaux de la structure landaise. Le président de l’association, Didier Courtade, a voulu calmer le jeu et retracer le cadre dans lequel se développe l’activité féminine au sein de son club. « Plus de 30 cadettes sont venues rejoindre le club cette saison, souligne-t-il. Le week-end dernier, les seniors disputaient leur premier tour des phases finales contre le FC Grenoble, les jeunes abeilles participaient, elles, aux finales du Championnat de France à 7 à Millau. Avec une génération senior impliquée et performante, un staff équilibré de trois coachs diplômés, l’équipe phare obtient depuis quelques années des résultats probants. » Margaux Auvinet, arrière titulaire, intégrée au sein du club grâce à un service civique, apprécie l’aventure qu’elle vit en jaune et noir : « Je suis arrivée au Stade montois en 2014 à l’âge de 15 ans. J’ai bénéficié d’une excellente intégration. Les résultats étant présents, nous prenons collectivement du plaisir à l’entraînement et en match. Par ailleurs, le Stade montois m’a permis de signer un contrat de service civique grâce auquel je peux vivre à fond mon projet rugbystique mais aussi professionnel. Il me permet de mener des projets très importants comme l’organisation de stages de vacances, distribution de flyers pour la promotion du rugby dans les collèges et les écoles, procéder à une enquête auprès des licenciés sur l’accueil et l’accompagnement au Stade montois, etc. »

Journée spéciale rugby féminin

Si Margaux Auvinet traduit sans retenu le plaisir qu’elle ressent, Thierry Gatineau quant à lui, insiste sur la mise en commun des moyens au sein de l’association : « Le programme de formation des éducateurs et entraîneurs bénéficie aussi grandement aux sections féminines. Un gage d’enracinement des compétences pour favoriser le développement sur le long terme, qui reste des plus difficile à mener dans le rugby féminin que l’on sait relativement fragile car fréquemment tenu par des générations ou des personnalités fortement impliquées souvent de passage. » Au sein de l’association on étudie même une journée festive et sportive « Spéciale rugby féminin ».

Par Gérard Piffeteau

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