Ces 6 Racingmen habitués des finales européennes

  • Yannick Nyanga (Racing 92)
    Yannick Nyanga (Racing 92)
  • Donnacha Ryan (Racing 92)
    Donnacha Ryan (Racing 92)
  • Patricio Albacete lors de son premier match avec le Racing 92
    Patricio Albacete lors de son premier match avec le Racing 92
  • Wenceslas Lauret (Racing 92)
    Wenceslas Lauret (Racing 92)
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Une bonne partie de l’effectif actuel du Racing 92 a vécu la finale de Champions Cup perdue en 2016 face aux Saracens. Six Racingmen ont quant à eux connu au moins une autre finale européenne, sous d’autres couleurs.

Yannick Nyanga (2008)

Le leader de la troisième ligne francilienne a déjà perdu deux finales de coupe d’Europe dans sa carrière. Huit ans avant la déception de Lyon face aux Sarries (21-9), il avait déjà connu cette souffrance au Millenium Stadium de Cardiff. Son club de l’époque, le Stade toulousain, s’était incliné de trois petits points contre le Munster (16-3). Une finale à laquelle Nyanga avait participé en tant que remplaçant. Deux ans plus tard, il n’était pas dans le groupe haut-garonnais sacré contre Biarritz (21-19).

Donnacha Ryan (2008)

Au Millenium, Yannick Nyanga a croisé la route de son actuel coéquipier Donnacha Ryan. Mais plutôt en dehors du terrain puisque l’Irlandais n’était pas rentré ce jour-là, tout comme cinq autres remplaçants du Munster. Dix ans plus tard, le soldat Ryan devrait prendre une part bien plus active à San Mamés, lui qui s’est imposé dans la cage du Racing dès sa première saison dans les Hauts-de-Seine.

Donnacha Ryan (Racing 92)
Donnacha Ryan (Racing 92)

Census Johnston (2006, 2010)

Jouera ? Jouera pas ? C’est une des énigmes du groupe francilien pour cette finale. Une chose est en revanche sûre : les finales de coupe d’Europe, Census Johston connait ! Il a joué sa première, en tant que titulaire, il y a douze ans avec Biarritz. Pas vraiment un bon souvenir puisque le BO s’était incliné contre le Munster (23-19), toujours au Millenium Stadium de Cardiff. Quatre ans plus tard, "Sushi" a eu sa revanche, avec le Stade toulousain, face à son ancien club, au Stade de France (21-19). Une finale où il est entré en jeu en cours de match.

Patricio Albacete (2008, 2010)

Avouez que vous ne vous souveniez même plus que Patricio Albacete évoluait sous les couleurs du Racing cette saison. On vous excuse, avec seulement trois apparitions sous le maillot ciel et blanc, l’Argentin est le gros flop du recrutement estival altoséquanais. L’année de trop pour le vieux Puma (37 ans) qui en a pourtant connu de si belles durant sa période toulousaine. Longtemps pilier du XV de départ de Guy Novès, c’est avec ce statut qu’il a disputé la finale perdue contre le Munster en 2008 et celle, victorieuse, face au BO en 2010. Samedi, c’est au mieux en costume qu’il assistera à la rencontre.

Patricio Albacete lors de son premier match avec le Racing 92
Patricio Albacete lors de son premier match avec le Racing 92

Wenceslas Lauret (2010)

Pour ce qui était seulement sa deuxième saison chez les professionnels, le tout jeune Wenceslas Lauret (21 ans) avait déjà la confiance de Jean-Michel Gonzales et Jack Isaac à Biarritz. Au point de démarrer la finale de H Cup au Stade de France contre le Stade toulousain. Un souvenir "horrible" selon ses propres mots, qui le hante encore. Tout comme celui des Saracens six ans plus tard n’est toujours pas passé. Il est aujourd’hui plus que jamais un des cadres du pack de Laurent Travers au Racing 92. Il devrait démarrer samedi, ce qui ferait de lui le seul des six joueurs cités dans cet article à avoir été titulaire sur trois finales européennes.

Wenceslas Lauret (Racing 92)
Wenceslas Lauret (Racing 92)

Manuel Carizza (2006, 2010)

Manuel Carizza est, lui, le seul des six à avoir déjà perdu trois finales de coupe d’Europe. Les trois en tant que remplaçant. Il a pleuré avec Census Johston en 2006 et avec Wenceslas Lauret en 2010, les deux en qualité de joueur du Biarritz Olympique. Les chances de voir le deuxième ligne argentin sur la feuille de match samedi face au Leinster sont très faibles. En cas de défaite des Ciel et Blanc, le chat noir sera quand même tout trouvé.

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