Aurillac : Burger ? "Il savait très bien ce qu'il voulait"

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Passé par Aurillac, le troisième ligne des Saracens Jacques Burger a laissé un très bon souvenir dans le Cantal. Ceux qui l'ont côtoyé se souviennent... "C'était un homme talentueux sans ballon, un plaqueur fou qui ne lâche jamais rien, avec une présence inouïe", analyse notamment son ancien entraîneur Thierry Peuchlestrade.

"Dès son arrivée, on a senti quelqu'un d'investi. On a tout de suite remarqué qu'il avait une qualité naturelle: l'agressivité sur l'homme", souligne encore Thierry Peuchlestrade. "Aurillac venait de monter en Pro D2. Une grosse vague sud-africaine déferle sur le Cantal et dans le lot un Namibien. Il faisait partie d'un très bon réseau de relations qu'on avait en France et dans les pays de l'hémisphère Sud", détaille Jacques Brugère, alors en charge du recrutement.

"Il savait très bien ce qu'il voulait: côtoyer les grands. C'est un type qui était vraiment fait pour le rugby", estime Thierry Peuchlestrade. "Jacques est quelqu'un de très gentil, de très marrant. C'est un déconneur, mais en-dehors du rugby car quand il est au rugby, il est immédiatement dans sa bulle. C'est un gros travailleur, il est très dur, il fait mal et il est tout le temps à fond", sourit encore Kobus Kemp, son ancien coéquipier dans le Cantal.

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