"Les Français , c'est un peu comme jouer les Blacks"... Le top des déclas

Par Rugbyrama
  • Jonathan Sexton - Irlande
    Jonathan Sexton - Irlande
Publié le Mis à jour
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L'hommage de Jonathan Sexton aux Français, la colère froide du président d'Agen, la fierté de Lester Etien ou encore l'hommage de Romain Ntamack à Dupont... Voici le top des déclas du week-end.

Les Français, c'est un peu comme jouer face aux Blacks

Que ces mots font plaisir à entendre dans la bouche d'un joueur comme Jonathan Sexton. L'ouvreur irlandais a livré son sentiment après le revers de son équipe face aux Bleus (35-27) et a osé une comparaison flatteuse : "On savait que les Français, avec les joueurs qu'ils ont, peuvent marquer un essai à partir de rien. C'est un peu comme jouer face aux Blacks." Pourvu que ce genre de comparaison dure.

C'est notre match référence

Large vainqueur dans le Classique du championnat hier soir face à Toulouse, le Stade Français n'a pas boudé son plaisir d'inscrire 48 points au champion de France en titre. Même si ce succès est survenu face à un Toulouse privé d'une majeure partie de ses titulaires habituels, Lester Etien se réjouit : "C'est notre match référence, peu importe que ce soient les jeunes de Toulouse ou pas en face". Après deux déconvenues successives à domicile, le Stade Français a donc éteint l'incendie hier.

Au Stade Toulousain, on ne peut pas prendre 50 points comme ça à l'extérieur

Jean Bouilhou n'a visiblement pas digéré la cuisante déconvenue de son équipe en terre parisienne hier soir (48-14). Dans l'après-match, l'entraîneur des avants ne s'est pas cherché d'excuses et déclarait : "Au Stade Toulousain, on ne peut pas prendre 50 points comme ça à l'extérieur". L'année du dernier Brennus pourtant, Toulouse s'était aussi incliné lourdement à Montpellier (66-15)...

Je suis scandalisé par l'attitude de certains joueurs

Abasourdi. Le président d'Agen Jean-François Fonteneau n'en revenait pas du visage affiché par ses hommes samedi soir sur la pelouse de l'UBB. Après la rencontre perdue 71-5, il pestait : "Je suis scandalisé par l'attitude de (certains) joueurs face à l'UBB. Je réfléchis à sanctionner le groupe financièrement. Insupportable que nos partenaires et supporters nous soutiennent économiquement dans ce contexte anxiogène et que le groupe n'ait aucun respect." Première victime de la colère froide du président, le duo Laussucq et Vaquin, limogés hier soir.

Il est impressionnant... Plus rien ne m'étonne chez Antoine

Romain Ntamack le connaît pourtant par cœur. Coéquipier d'Antoine Dupont à la charnière chez les Bleus et avec le Stade Toulousain, l'ouvreur international a livré son sentiment sur le phénomène Dupont dans nos colonnes aujourd'hui : "Il est impressionnant mais, en passant autant de temps avec lui tous les jours, plus rien ne m'étonne chez Antoine. Dès que lui ou Virimi ont un ballon on sent bien que la ligne de défense adverse est en panique. Le tout avant de conclure : "C'est beau de voir de la crainte dans les regards irlandais devant les joueurs français". On confirme.

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