Mêlée, Atonio, Pau, Kockott... Nos Tops et Flops de la 16e journée

  • Tops et Flops de la 16e journée
    Tops et Flops de la 16e journée
  • Clermont face à Toulon - 8 janvier 2017
    Clermont face à Toulon - 8 janvier 2017
  • Uini Atonio (La Rochelle) face à Castres - 8 janvier 2017
    Uini Atonio (La Rochelle) face à Castres - 8 janvier 2017
  • Lilian Saseras (Grenoble) face à Brive - 7 janvier 2017
    Lilian Saseras (Grenoble) face à Brive - 7 janvier 2017
  • Rory Kockott (Castres)
    Rory Kockott (Castres)
  • Le président de Pau, Bernard Pontneau (de face) en grande discussion avec son vice-président, Yannick Le Garreres à côté du manager Simon Mannix
    Le président de Pau, Bernard Pontneau (de face) en grande discussion avec son vice-président, Yannick Le Garreres à côté du manager Simon Mannix
  • Nemani Nadolo (Montpellier) face à Bordeaux-Bègles - 6 janvier 2017
    Nemani Nadolo (Montpellier) face à Bordeaux-Bègles - 6 janvier 2017
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TOP 14 - Uini Atonio est en forme internationale alors que la mêlée de Clermont a concassé celle de Toulon lors du choc au Michelin. Rory Kockott, lui, n'a pas été à son avantage, tout comme la Section paloise. Nos Tops et Flops de la 16e journée.

Les Tops

  • La mêlée de Clermont

Clermont, ce n'est pas uniquement un effectif parfaitement huilé et une ligne d'attaque lumineuse. C'est aussi une conquête propre. Demandez à Toulon s'il n'a pas souffert en mêlée fermée dimanche soir. La première demi-heure fut même un calvaire pour Florian Fresia et Manasa Saulo. Les deux piliers ont en tout été pénalisés à 3 reprises dans la première demi-heure, étant totalement renversés lors des poussées collectives de l'ASM. Clermont a pu capitaliser et Marc Dal Maso, dépité, s'est résigné à sortir ses deux piliers après 30 minutes de jeu. Si un léger mieux s'est fait sentir par la suite, le RCT n'a pas pu éviter un essai de pénalité avant la pause. Celui du break (15-3).

Clermont face à Toulon - 8 janvier 2017
Clermont face à Toulon - 8 janvier 2017
  • Atonio (La Rochelle)

En voilà un qui est en forme internationale à moins d'un mois d'Angleterre - France. Uini Atonio a été l'un des grands artisans du succès rochelais face à Castres samedi soir (22-8). 80 minutes de très haute volée, que ce soit dans le jeu courant avec 17 ballons portés, 1 franchissement et 4 offloads mais aussi en conquête où il a imposé toute sa masse en mêlée fermée face à un édifice castrais réputé dans ce secteur.

Uini Atonio (La Rochelle) face à Castres - 8 janvier 2017
Uini Atonio (La Rochelle) face à Castres - 8 janvier 2017
  • Grenoble

Cela va vous paraître étonnant de voir une équipe battue dans les tops mais l'abnégation affichée par le FCG à Amédée-Domenech nous a ravis. Oui le FCG va mal et il faudrait un miracle pour que le club se maintienne en Top 14. Mais pendant 80 minutes, ils ont mis à mal des Brivistes qui ne s'attendaient sûrement pas à une telle opposition. Inscrire trois essais sur le terrain du CAB, ce n'est pas donné à tout le monde. Un coup de chapeau à Grenoble, qui une nouvelle fois n'a pas été en veine, s'inclinant d'un tout petit point (23-22).

Lilian Saseras (Grenoble) face à Brive - 7 janvier 2017
Lilian Saseras (Grenoble) face à Brive - 7 janvier 2017

Les Flops

  • La charnière Urdapilleta - Kockott

Si Castres a chuté à La Rochelle samedi soir, sa charnière n'y est pas étrangère. Rory Kockott et Benjamin Urdapilleta n'ont tout simplement pas été au niveau et leurs stats le prouvent. Kockott a écopé d'un carton jaune (étant pénalisé 3 fois), raté 5 plaquages sur 9 tentés et s'est mis l'arbitre à dos en parlant bien trop souvent. Benjamin Urdapilleta, lui, affiche bon nombre de 0 sur sa feuille de stats avec notamment aucun mètre gagné ballon en mains. Pire, il a connu deux échecs au pied et notamment une pénalité juste avant la pause sur la ligne des 22m, à l'angle des 15m. Pour un buteur de sa trempe, ce n'est pas normal. Le CO jouait à 14 à ce moment-là et aurait pu avoir 5 unités d'avance à la pause...

Rory Kockott (Castres)
Rory Kockott (Castres)
  • Pau

Quelle (mauvaise) surprise de voir le report du match Pau-Lyon ! Mais surtout de s'apercevoir que le club palois n'a pas su prévoir le coup bien plus tôt. La vague de froid qui sévit actuellement sur tout l'Hexagone est annoncée depuis plusieurs jours déjà et les Béarnais n'ont quasiment rien anticipé. Le président de Pau, Bernard Pontneau, s'est dit prêt à assumer les responsabilités de ce report. C'est tout à son honneur mais avec un peu de bonne volonté, cette situation aurait peut-être pu être évitée... Mathieu Raynal, l'arbitre prévu pour ce rendez-vous, a en tout cas pris la décision qui s'imposait.

Le président de Pau, Bernard Pontneau (de face) en grande discussion avec son vice-président, Yannick Le Garreres à côté du manager Simon Mannix
Le président de Pau, Bernard Pontneau (de face) en grande discussion avec son vice-président, Yannick Le Garreres à côté du manager Simon Mannix
  • La défense de Nadolo

Nemani Nadolo est un formidable attaquant. Il l'a encore une fois démontré face à Bordeaux-Bègles vendredi soir en ouverture de la 16e journée avec un essai plein de détermination. Mais en Top 14, il faut savoir aussi défendre. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le surpuissant Fidjien n'a pas brillé dans ce domaine contre l'UBB. 1/4 aux plaquages et surtout une attitude pour le moins surprenante sur l'essai de Dubié où il fait preuve d'une incroyable passivité.

Nemani Nadolo (Montpellier) face à Bordeaux-Bègles - 6 janvier 2017
Nemani Nadolo (Montpellier) face à Bordeaux-Bègles - 6 janvier 2017
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