L'objectif : Le titre, what else ?

  •  Jonathan Joseph (Angleterre)
    Jonathan Joseph (Angleterre) PA Images / Icon Sport
Publié le Mis à jour
Partager :

Eddie Jones, les joueurs et tout un peuple n’espèrent qu’un même dénouement cet automne : la victoire finale, seize ans après avoir vu Martin Johnson ramener pour la première fois le trophée Webb-Ellis sur l’île.Pour y parvenir, la route des Anglais promet d’être sacrément escarpée. Tout commencera avec une phase de poules piégeuse où se présenteront deux concurrents sérieux : les Argentins, qui « jouent leur meilleur rugby dans ces compétitions » dixit Eddie Jones, et les Français, dont le niveau de performance reste une inconnue à ce jour. S’ils terminent premiers de poule, les Anglais retrouveraient les Gallois ou les Australiens en quart de finale avant, si la hiérarchie est respectée, de défier les All Blacks dès les demi-finales.Pour une possible finale avant l’heure.Au vu du plateau de favoris, particulièrement homogène, les phases finales du Tournoi s’annoncent de toute manière dantesques.

La poule C 

  • Angleterre (5e au classement World Rugby).
  • France (8e)
  • Argentine (10e)
  • Etats-Unis (13e)
  • Tonga (15e)

 

78 comme le poucentage de succès sous Eddie Jones 

La statistique permet de mesurer le renouveau duXV de la Rose ces dernières années : depuis la prise de fonction d’Eddie Jones, les Anglais affichent 78,75 % de victoires avec trente-et-un succès pour huit défaites et un nul (le test-match de ce dimanche face aux Gallois n’est pas comptabilisée). Stuart Lancaster, déjà, s’était présenté à la Coupe du monde 2015 avec un bilan relativement flatteur : ses hommes affichaient un correct 62,82% de victoires sur les trois ans et demi de son mandat. Ce qui n’avait pas pour autant garanti leur bonheur au Mondial.

Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?