L'objectif : Une envie de dernier carré
Jamais deux sans trois. Cet adage, l’Argentine aimerait bien le mettre en application et le réaliser au Japon. Comme en 2007 et en 2015, lorsqu’ils avaient atteint les demi-finales.
Pablo Matera et sa bande voudront faire aussi bien que leurs glorieux aînés, les Pichot et Hernandez, pour ne citer qu’eux. Présent du côté du terrain en 2007, Mario Ledesma sait sans doute mieux que quiconque que le statut de Petit Poucet est un levier important pour cette sélection, souvent présentée comme l’une des dernières ou nouvelles, c’est selon, romantiques du rugby moderne. Dans une interview donnée en juin au journal Clarín, l’ancien talonneur de Clermont n’y allait pas par quatre chemins : «Je crois que ces Pumas peuvent faire un coup comme en 2007. Ils travaillent durs et ils en ont la conviction. Les gens le voient, y adhèrent et ils s’y identifient. C’est une équipe qui transmet quelque chose, qui donne des émotions.» Et qui devra d’abord passer sur le corps des Français et des Anglais.
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