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Grand retour à Christchurch pour la Nouvelle-Zélande face à l'Argentine

  • Après leur victoire à Johannesburg, les All Blacks retrouvent leur antre à Christchurch.
    Après leur victoire à Johannesburg, les All Blacks retrouvent leur antre à Christchurch. PA Images / Icon Sport - PA Images / Icon Sport
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Les Blacks retrouvent la ville de l’île du sud qui n’a plus de grand stade à leur proposer depuis 2011. Dans la cité de son concurrent, robertson, le sélectionneur Ian Foster n’a pas intérêt à se planter.

Ce n’était pas arrivé depuis six ans. Les All Blacks n’ont plus joué à Christchurch, la grande ville de l’Ile du Sud depuis 2016. La raison en est simple, la cité n’a plus de stade adapté aux matchs internationaux depuis le grand tremblement de terre de 2011 qui a sévèrement endommagé le AMI Stadium. L’enceinte a été remplacée par un terrain plus modeste, entouré de tribunes provisoires, dont la capacité ne peut excéder les 17 000 spectateurs. Il est situé à Addington, dans la périphérie, il répond au nom de Orangetheory Stadium. La fédération s’est donc tournée vers d’autres villes pour assurer de meilleures recettes lors des matchs joués à domicile. Pour ce Nouvelle-Zélande-Argentine, les organisateurs ont ajouté 3 000 sièges supplémentaires pour atteindre de cap symbolique des 20 000 places.

Les organisateurs ont mis le paquet avec près de 400 employés pour fournir les bières et les frites censées symboliser ces retrouvailles. Mais aussi installer une foule de canapés pour que les loges soient les plus confortables possibles.

Vote pour un nouveau stade

Le match face aux Pumas sera vraiment symbolique. Ce sera le grand retour des All Blacks à domicile depuis que Ian Foster a été confirmé dans ses fonctions par la NZRFU. Mais Christchurch, c’est aussi le fief de son grand concurrent, Scott Robertson, patron des Crusaders. Foster a sauvé sa tête après la victoire de ses joueurs à Johannesbourg (35-23), mais en cas de nouvelle défaite, il se trouvera toujours des bonnes âmes pour relancer la machine à déstabilisation.

À Christchurch, l’actualité a été marquée par la prolongation de Will Jordan qui a prolongé son contrat avec les Crusaders et la NZRFU jusqu’en… 2023. Le trois quart aile ou arrière (dix-neuf essais en dix-sept matchs) est un vrai symbole de la formation locale qui produit des talents à la chaîne. Il n’a que 24 ans, on aurait pu imaginer qu’il s’engagerait pour une période plus vaste, mais l’homme n’est sans doute pas inconscient. La guêpe pas folle aime bien l’idée d’être libre après la Coupe du Monde.

Par ailleurs, le conseil municipal de la vile a voté le mois dernier la construction d’un nouveau Stade ultra moderne pour que la cité retrouve le lustre qu’elle mérite.

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